Les faits d'actualité.

Chez nous on a des ministres de père en fils,
ou avec des filiation douteuses au seins des partis,
il serait temps que le pouvoir revienne au peuple et plus à des gens déconnecté de la réalité et hors d'atteinte de la justice.

Mince...On a les mêmes...

Emmanuel Macron lance son propre mouvement politique: "En Marche!"
Un mouvement "transpartisan".



http://www.huffingtonpost.fr/2(...)00001

En quoi est ce "pas trop grave pas trop choquant"?

C'est toujours plus intéressant que les nuits des miss France qui s'organisent en France pour dire que je chômage c'est mal et que l'humain c'est bien.

Il a pas oublié "bande de feignants" après "En marche" ?
C'est dingue comment une idéologie peut transparaitre à travers 2 mots...
Et le secrétaire national ça serait qui ? Frédéric Oudéa ?
Sérieux en tant qu'ancien banquier la seule chose qu'il devrait être autorisé à faire pour son pays c'est seppuku.

Ah oui, les banquiers sont des voleurs, les patrons nous exploitent, les fonctionnaires des feignants, les policiers des miliciens en manque de sévices corporels, les arabes sont des terroristes, les juifs sont riches, les noirs ont des grosses bites....

En fait on reproche la stigmatisation, pour pouvoir mieux stigmatiser.

Backstage est bel et bien en marche.

A voir la photo de son parti , on a l' impression de voir une pub pour banksters en mal de randos et de sensations fortes ...

Ce mec n'est jamais sorti des cercles du pouvoir :
Rotschild -> Bercy, en passant par le parrainage d'Attali.
Comment il saurait ce qui est bon pour le pays ?
C'est quoi ses convictions ?
C'est quand la dernière fois qu'il a pensé par lui-même ?
Aujourd'hui perso j'attend plus un Appel du 18 juin qu'un #Onvavousmettreaupas.

Hahaha pas faux

Y a de la bonnasse en tout cas! Je vais peux être m'y inscrire

Le complexe des petits (toi, moi, nous) m'amuse.
Nous sommes tous médiocres et minables. Nous sommes la populace, nous ne sommes rien et c'est justement en refusant cette idée que l'on dénoncera les "cercles de pouvoir" que l'on ira passer la nuit debout pour dire que le chômage c'est mal et que la guerre ça fait mal, tels des rangées de miss.

Nous ne sommes pas et ne serons jamais dans les cercles de décision. Nous n'y étions pas en 1789 où nos aïeux ont été menés par de grands hommes comme Sieyès (merde un abbé) ou Mirabau (merde un noble) et donc par l'élite.

Pas plus en 68, où les partis politiques d'un bord ou d'un autre tiraient les ficelles du petit peuple.

Pas la bonne éducation, pas les ficelles et pas les tenants et les aboutissants de tout ce qui se passe dans notre monde.

En comprenant ça, on peut se mettre à créer, à proposer des choses, construire, bâtir, innover...

En un concept simple : on voit le changement comme une opportunité et non comme un risque.

On bande à la vie et on le vit bien!

Bandez à la vie mes amis! Ce sera le nom de mon courant politique.

Bah non, moi j'suis blanc !

Tu as donc tous les prerequis pour devenir le Ministre du Candaulisme dans mon partie "Bandez à la vie".

Le changement c'est prendre des risques et l'accepter.

Ha mon Ministre de l'Echangisme !

On avance.
Mon mouvement est en marche...


Plus sérieusement, la prise de risque est toujours tournée de façon pessimiste par nos experts en declinologies.

On risque de perdre nos acquis, on risque de perdre notre job, de perdre ...

On risque surtout de gagner! On peut gagner sur tous les points, mais ça demande un peu de courage de voir la vie comme ça. Bien plus que d'aller se geler les miches sur la place de la république sans rien connaître des rouages mondiaux mais en sortant des lieux communs.

Les travaux de Kubbler Ross sur le changement et le deuil dans le changement sont très intéressants. Je vous invite à y jeter un œil attentif.

Si vous avez le temps, le courage et l'envie de bander à la vie, lisez et regardez tout ce que produit Emmanuelle Duez.

Mais pourquoi vouloir changer , prendre des risques, vouloir gagner ...

http://www.rtl.fr/actu/politiq(...)72831

Présidentielle 2017 : "On ne gagne pas sur un bilan", assure Manuel Valls