BluesBarbu a écrit :
«Je ne veux pas sacrifier mon enfant à mes idéaux !» L’entrée en sixième sonne souvent comme un défi pour les familles installées dans les quartiers mélangés. Entre convictions solidaires et souci de protéger sa fille ou son fils, le choix prend des allures de dilemme intime
...
Comment articuler, au plus profond de soi, cette décision de ne pas scolariser son enfant dans le quartier, quand on se réclamait en primaire de l’esprit laïque de l’école de la République, et qu’on se faisait élire représentants FCPE aux conseils d’école ? Comment justifier quotidiennement ce grand écart entre le dire («je pense qu’il est important que chacun s’engage pour lutter contre les inégalités») et le faire («je préfère garantir à mon enfant un entre-soi rassurant») ?
http://www.liberation.fr/debat(...)23163
C'est exactement la question qui s'est posée pour notre aîné... on l'avait mis dans le public en maternelle ...
On a pensé qu'il fallait pas le "sacrifier" et on l'a mis dans le privé dès le CP
MERCI la gauche de Mitterand
Dans la région lilloise, les lycées publics étaient les meilleurs ... à partir des années 80 et l'interdiction pour les directeurs de virer les fouteurs de merde, les choses se sont inversées ...
Les hommes politiques de gauche mettent leurs gamins dans le privé, eux aussi ....
C'est bô les idéaux !