nihilumbellus a écrit :
Je vais faire le cheveux sur la soupe mais franchement la vie vaut-elle vraiment le coup d'etre vécue? Moi je leur filerai un bouquin de Cioran plutot... Finalement il enfonce tellement bas qu'on hésite finalement...
Et l'état devrait aussi enfin arreter d'interdire le suicide et enfin légaliser cette putain de bordel de première liberté donnée à l'individu!!! Enfin meme pas donnée, puisqu'on l'enlève (et de quel droit?). On n'a pas choisi de vivre, pourquoi devrait-on etre obligé de continuer un chemin dont on ne veut pas?
Enfin ca me dépasse, pourquoi les gens n'arrivent pas à accepter que certains trouvent que la vide est encore plus vide que le néant, de ne pas accepter qu'il pisse etre préférable selon certains de ne rien n'etre plutot que d'etre vivant?
Je ne suis pas allé sur le site, je ne veux pas etre un des visiteurs de cette vaste mascarade qui vise à aveugler ceux qui peut etre voient plus clair que tous. Redonner gout à la merde en la saupoudrant de sucre...
Désolé, mes propos sont un peu énervés mais c'est que j'en ai marre des bien pensants qui veulent uniformiser l'intellectuellement correcte et sont les plus intolérants (et oui, ils ne respectent pas la liberté d'un individu qui veut mettre fin à ses jours : n'iront-ils pas appeler le samu qui gardera comme un légume un suicidaire? Demandera-t-on l'avis à l'intéressé?)
Excuse-moi, mais tu a quel âge ?
Je vais passer l'hypothèse ( pourtant si probable ) que tu te sente puissant en contre_disant systématiquement ce qui est dit et essayer de répondre en considéreat la deuxième hypothèse pouvant motiver ta réponse : que tu sois immature/irréfléchis.
Comment un jeune peut-il savoir qu'il n'aime pas la vie quand il ne la connait pas ?
Que sait-on de la vie a 15 ans ?
Tout les jeunes ont des moments de detresse, de sentiment d'incompréhension généralisé, d'envie de ne plus lutter. Ca fait partie de la jeunesse. Peu de jeunes sont attachés a la vie. Du moins c'est ce qu'il croient.
La jeunesse est une période d'exacerbation sentimentale. En ce sens, tout ce que l'on ressent, bien ou mal, on le ressent de manière plus violente et
surtout plus "irréfléchie". En effet, le manque d'experience et de recul qui caractérisent la jeunesse, ou même certains adultes au coefficient emotionel faible, indui le fait que le sensible prédommine sur l'intéligible dans la manière dont il perçoit le monde et l'appréhende.
Beaucoup ont eu une envie de se suicider un jour, et le lendemain en se tappant une grosse barre avec des potes se sont dit "Tain j'ai bien fait de pas me butter hier".
De plus la jeunesse dont on parle c'est, au maximum, 1/3 de la vie. Que peut-on juger sur la peine ou non que la vie vaut d'être vécue quand on n'en connait pas la moitiée ? Que peut-on dire de ce que l'avenir nous reserve ? Que peut-on tirer comme certitude que nous serons eternellement malheureux quand cette deduction est tirée d'un evennement passager, sur une echelle plus ou moins grande je le conçois, et duquel nous n'aurons plus souvenir, des années plus tard, ou au pire duquel seul persistera le souvenir adoucis par le temps ?
Combien d'enfants battus sont devenus de grands hommes ? Combien d'enfants rejetés a l'école et malheureux jusqu'au supérieur ou même plus ont accomplis quelque chose de grand ? Combien d'enfants ayant tenté de se suicider jeunes sont heureux des années plus tard de ne pas avoir réussis ?
Maintenant monsieur [Edit de BiZ: sans insultes c'est bien aussi]qui soutient qu'on doit laisser les mômes se butter, jvais te poser une question de toi a moi. Si ton gosse se suicidait, est-ce que tu ressortirai ton verbe pauvre et mal écrit, ta théorie bidon sur le suicide des gens et tes grandes phrases alarmantes de bêtises ou est-ce que tu serai plutot du même avis que moi ? Réflechis avant de proférer des imbécilités si probantes d'immaturité.
Qu'on me bannisse si mes propos sont injurieux, qu'on me censure ou que tout les modos du forum m'envoient un avertissement avant ban, j'aurais au moins dit ce que j'avais a dire.