Téléchargement illégal, plus de liberté ?

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Invité
A non c'est clair que c'est très con
IL y a aussi des protocoles nettement moins traçables

sinon un lien qui pointe vers les mêmes faiblesses du dispositif:
http://www.agoravox.fr/actuali(...)54212

Le pire pour moi restant le cout de la mise en oeuvre qui pourrait avoisiner celui des pertes des majors...
Invité
Sinon F.Lalanne a très bien décrit ce que je pense de cette loi...
Je conchie tous les artistes soutenant de près ou de loin cette masquarade qui n'a d'autre but que d'instaurer le filtrage du net et pire confie la tache à une compagnie privée...
Je parle pas du coup de mise en oeuvre...
Vont pas être pret de voir mes thunes...
Ma disparition du net est programmée... disparition virtuelle biensur...
avantoux
HADOPI a été votée hier...
Invité
avantoux a écrit :
HADOPI a été votée hier...

C'est clair... La france va aller conte l'avis de l'Europe et certainement bloquer le paquet télécom...

C'est nawack... vive le filtrage... le but à peine dissimulé de cette loi...
Invité
Francis Lalanne a écrit :
Estimant que c'est l'Hadopi "le vrai pirate", il décrit la haute autorité prévue par le projet de loi comme une "administration qui va venir chez les gens, fonctionner comme une administration judiciaire, et policière". "Et ça ce n'est plus la République", assène Francis Lalanne, qui y voit le symbole d'une "dictature civile".

"Je ne suis pas d'accord en tant que citoyen pour que les élus de la République nomment des gens qui ne sont pas élus, qui ne sont pas élus pour constituer une sorte d'administration comme ça, des gens qui s'arrogent le pouvoir judiciaire, le pouvoir policier, et qui vont pouvoir débouler chez les gens, pour couper ton électricité, couper ton internet...".

"C'est la dictature civile", répète le candidat aux Européennes.

"Moi je suis pour le libre accès à la connaissance et à la culture et moi je vis de ma musique, et s'il fallait que j'en vive un peu moins bien mais que cela favorise l'accès plus large à l'information et à la connaissance de ce que je produits j'en serai heureux parce qu'on ne va pas commencer à mettre des barrières entre les gens et l'art au motif que l'on voudrait refaire sa piscine", a indiqué Francis Lalanne.

"Il faut qu'on arrête de confondre dans ce pays la garantie des droits et la répression (...) je ne dis pas que l'oeuvre intellectuelle n'a pas de valeur, mais elle n'a pas forcémment la valeur que la société de consommation décide qu'elle a. Moi je suis désolé mais mon oeuvre intellectuelle me permets de vivre même si je ne vends pas de disques demain"

"Moi-même je suis producteur indépendant et j'ai appris à adapter mes coûts de production aux fluctuations du marché et effectivement, et quand le marché est moins florissant je fais un petit peu attention, je dépense moins mais ça ne veut pas dire que ce que je crée est moins bien".

"Imputer la crise du marché du disque à ce qu'on appelle le piratage c'est une imposture. S'il y a eu une crise et il y en a une, ça n'est pas à cause des gens qui téléchargent de la musique comme il est faux de dire que les gens qui téléchargent n'achètent pas de disques. Maintenant il y a une telle offre qu'il est sûr qu'on ne pourra pas tout acheter".

"Je préfère que quelqu'un 'vole' ma musique plutôt qu'il ne l'écoute pas".

Il donne, finalement, le mot de la fin : "la peur du gendarme n'est pas le commencement de la sagesse, mais le commencement de la violence".
Invité
Erwan Seznec avec Édouard Barreiro a écrit :
Marché de la musique

Quelle crise ?

Alors que le 43e Marché international du disque et de l'édition musicale s'ouvre à Cannes, les professionnels de l'industrie se préparent à un récital désormais bien rodé : le piratage sévit, la musique va mal, les artistes se meurent. Conclusion logique, il faut sévir contre le téléchargement illégal afin de revitaliser la création française. Carré en apparence, le raisonnement escamote quelques questions très simples sur l'efficacité et la justice d'un système qui souffre en réalité bien davantage de ses propres défauts que du piratage. Quelques questions/réponses pour décrypter le marché de la musique.
La musique est-elle un secteur en crise ?

Si par « crise », on pense à la situation de la sidérurgie dans les années 70 ou de l'automobile aujourd'hui, la réponse est non ! L'industrie musicale a connu une époque faste à la fin des années 80 et au début des années 90. Séduits par le CD, les possesseurs de vinyles ont racheté massivement des albums qu'ils possédaient déjà, en plus des nouveautés. Cette période exceptionnelle est révolue, mais le secteur se porte toujours bien. En France, les sommes collectées par la Sacem (principal organisme de collecte, de gestion et de redistribution des droits d'auteurs pour la musique et l'image) ont fortement progressé entre 2000 et 2005, passant de moins de 600 millions à près de 750 millions d'euros, niveau auquel elles semblent se stabiliser pour le moment.

La crise est en fait celle du CD, dont les ventes déclinent de manière spectaculaire (-20 % en 2008 ). Cette érosion est compensée par la progression des revenus issus du spectacle vivant et de la diffusion publique des oeuvres. Ils sont conséquents. Même si elle représente encore un faible volume (10 millions d'euros en 2007), la vente de fichiers numériques ou de musique sous des formes spécifiques, comme les sonneries téléphoniques, augmente très fortement (26,8 %). La musique à la demande, qui pèse aujourd'hui 3,46 millions d'euros, progresse de 85 %.



Le téléchargement illégal est-il responsable de l'érosion des ventes de CD ?


C'est loin d'être prouvé. L'album le plus vendu aux États-Unis par la plate-forme de téléchargement Amazon en 2008 est « Ghost I-IV » de Nine Inch Nails. Or, les neufs premiers morceaux étaient également proposés par leur auteur en téléchargement gratuit ! Ce qui n'a pas empêché « Ghost I-IV » de rapporter 1,6 million d'euros en 1 semaine, dès sa sortie. Un fichier téléchargé illégalement n'égale pas une vente en moins. D'abord parce que l'internaute n'aurait pas forcément acheté le morceau ; ensuite parce que la découverte d'un artiste par le téléchargement peut entraîner ensuite l'achat des albums ou d'autres produits induits (sonneries, concerts, jeux vidéos, etc.). Dans son livre « Playback », le journaliste américain Mark Coleman revient sur une campagne lancée aux États-Unis en 1979 par l'industrie du disque : « Home Taping Is Killing Music », la copie de cassette tue la musique. La même année, une étude démontrait que les gros copieurs de cassettes étaient aussi les meilleurs clients des disquaires...



Les CD et DVD sont-ils la principale source de revenus des artistes ?


Non. Les ventes de disques au sens large assurent seulement une petite part de leurs revenus. En 2007, elles représentaient 16,5 % des sommes collectées par la Sacem. Les artistes gagnent en fait plus d'argent sur les concerts et les diffusions à la radio, à la télé ou en boîtes de nuit. Ce qui relativise sérieusement la portée économique du piratage.



Combien d'artistes souffrent de la baisse des ventes de CD, et à quel point ?

Dans un entretien en 2005, le président de la Sacem Laurent Petitgirard évoquait le chiffre de 2000 artistes au maximum inscrits à la Sacem gagnant plus de 15 000 euros par an (CD, concerts et droits divers confondus), soit une proportion infime des 124 000 sociétaires inscrits.

Imaginons le pire : un effondrement total des ventes, du jour au lendemain. Quelques dizaines d'auteurs-compositeurs seraient très sérieusement dans l'embarras. Il s'agit de ceux qui vendent des disques sans jamais passer à la radio ni donner de concert. Un profil plutôt rare. Quelques dizaines d'autres (Manu Chao, Mylène Farmer, Francis Cabrel, Jean-Jacques Goldman, etc.) verraient leur niveau de revenus passer de l'excessivement confortable au très confortable. On peut comprendre leur agacement, mais exciper de la situation de ces stars pour faire croire que les auteurs moins connus sont au bord du gouffre relève du sophisme. En réalité, dans leur immense majorité, les artistes qui sortent un CD en vendent trop peu pour souffrir financièrement du téléchargement illégal. Seuls 5 % des artistes gagneraient de l'argent grâce aux ventes de disques. Le problème des 95 % restants est de se faire connaître, pas d'éviter de se faire pirater.



Comment se fait-il qu'aussi peu d'artistes vivent de la vente de CD ?


Les majors du disque sont assez largement responsables de cette situation, à un double titre.

Au début des années 2000, elles ont délibérément concentré leurs moyens marketing sur un tout petit nombre de valeurs sûres. Entre 2001 et 2004, le nombre d'artistes sous contrat avec les quatre majors a énormément baissé. Des artistes rentables mais pas suffisamment, comme Jacques Higelin, Brigitte Fontaine ou Alain Chamfort, se sont vus remercier par leurs maisons de disques, qui ont pratiquement cessé en parallèle de recruter de nouveaux talents. Résultat, en 2006, moins de 6 % des références vendues accaparaient 90 % du marché. Les radios ont aussi contribué à appauvrir le marché. Un rapport établi en 2006 par l'Observatoire de la musique sur 31 stations, soit 92 % de l'audience, a chiffré ce que tout auditeur, même occasionnel, subodorait probablement : moins de 3 % des titres diffusés occupent les trois quarts du temps d'antenne musicale. Sur les radios jeunes comme NRJ, Skyrock, mais aussi le Mouv', radio publique, c'est encore pire : les 40 titres présumés les plus populaires représentent 60 % des diffusions. Certains passent 15 fois par jour sur la même antenne, 55 fois par jour toutes stations confondues.



Qui est le principal perdant dans la baisse des ventes de disques ?

Les maisons de disques : Universal (25 % du marché), Sony BMG (21 %), EMI (13 %) et Warner (11 %). Ce sont elles qui encaissent l'essentiel du produit des ventes. Sur les 15 ou 20 euros que coûte un CD, en effet, 19,6 % va à l'État, sous forme de TVA, 21 % au distributeur, 50 % à la maison de disques. L'artiste principal, les auteurs et les compositeurs se partagent environ 9 % du prix de vente. Officiellement ! Car en réalité, les maisons de disques soustraient parfois de ces royalties le coût d'enregistrement de l'album, de la promotion et de la réalisation des vidéoclips.



La musique pourrait-elle être moins chère sans spolier les artistes ?


Oui, à l'évidence. Dès le début, les CD ont été vendus 50 % plus cher que les disques vinyles. Or, les prix de revient (fabrication, manutention, stockage) sont très rapidement devenus inférieurs à ceux des 33 tours. De plus, jusqu'en 1987, la TVA sur les disques était de 33,6 %. Elle a ensuite été baissée à 19,6 %. Le prix des CD, lui, a diminué à l'époque de 8 % seulement, soit 14 points d'évaporation... Il n'a jamais baissé par la suite. Inutile de préciser que les artistes ne sont aujourd'hui pas mieux rémunérés que dans les années 80.

On peut ajouter que la musique dans son ensemble, qu'elle soit diffusée à la radio, sur le Web ou en discothèque, serait moins chère si la gestion des droits était plus rigoureuse. Les frais de fonctionnement de la Sacem sont en effet vertement critiqués depuis des années. D'après un rapport du ministère de l'Économie et des Finances publié en 2006, ils se montaient en 2005 à 23,4 % des sommes collectées, ce qui est énorme. Les ratios en vigueur dans les autres pays développés sont plutôt de 10 % des frais. Selon le même rapport, à une époque, « la Sacem a abusé de sa position dominante, notamment pour pratiquer des niveaux de redevance très élevés à l'égard des discothèques ». Et encore aujourd'hui, « les négociations entre la Sacem et certains exploitants de formes nouvelles de diffusion (webradios...) se sont retrouvées bloquées en raison des règles d'assiette et des taux revendiqués par la Sacem pour le calcul de son prélèvement ».


Source : Que choisir ?
Invité
comment on m'aurait menti...
On a quand même une bonne bande de raclures de bidet en France... on dira pas qui ils sont procédurier en plus...
Mr. dickhead
Et la plupart n'y connaisse absolument rien et ne savent meme pas se qu'est le peer to peer.

De tout facon, a mon avis , cette loie va vite finir aux oubliette devant toutes les procédures que ca va amener. Filter les logiciels genre Emule, alors qu'on trouve tout sur les serveurs type Rapidshare ou Megaupload ? putain les mecs qui ont pondus ca dévait etre vachement caler sur les procédé de telechargement

Putain ca me fait vraiment mal de voir a quel point nos dirigeants sont des boufons et qui se permettent de donner des conseils et de la ramener sur des domaines qu'ils ne maitrisent même pas.



Citation:
Cette fois ils étaient là. Sur 577 députés, 557 sont venus pour le vote solennel sur la loi Création et Internet, dite Hadopi. Le texte a été adopté à une courte majorité, par 296 voix pour, 233 contre et 28 abstentions. Au sein de l'UMP, 44 récalcitrants ont voté contre.

Le texte de loi peut maintenant être présenté au Sénat, où le parti socialiste a décidé de s'abstenir. La loi Hadopi sera donc finalement adoptée et les premières suspensions d'accès pourront avoir lieu dès l'automne, comme promis.

Reste l'écueil constitutionnel, qui devrait être saisi par le PS, sur le thème de la double peine (l'accès suspendu continuera d'être facturé à l'internaute fautif) et de la présomption de culpabilité (c'est à l'internaute de prouver son innocence). Il faudra ensuite affronter le Parlement européen, qui a voté récemment, à 88%, l'amendement 138 déposé par l'eurodéputé Guy Bono (PS). Selon ce texte, l'accès à Internet, considéré comme un droit fondamental à l'information ne peut être suspendu que par la Justice et non par une autorité administrative, comme le sera l'Hadopi (Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet).

Sur son blog, Guy Bono annonce qu'il va demander à la Commission européenne « de lancer une procédure d'infraction contre le gouvernement français pour non respect du droit communautaire ». Brrrr...


Ça fait vraiment mal quand même, dans un pays comme le notre qui n'arrête pas de la ramener sur les droits de l'homme.
ledjudju
Faites chauffer TOR!!!!!!!!!!
forgeron infernal du total fuckin'metal club

Ancien luthier spécialisé en metal.
Dites au revoir à mes destructrices petites amies!!!!
they'll always remember that i made a stand
And many will die by my hand!!!!!!!
lemg
  • Vintage Ultra utilisateur
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    lemg
    le
Fozzie a écrit :
[

Les CD et DVD sont-ils la principale source de revenus des artistes ?


Non. Les ventes de disques au sens large assurent seulement une petite part de leurs revenus. En 2007, elles représentaient 16,5 % des sommes collectées par la Sacem. Les artistes gagnent en fait plus d'argent sur les concerts et les diffusions à la radio, à la télé ou en boîtes de nuit. Ce qui relativise sérieusement la portée économique du piratage.


Celui qui ne tourne pas et se fait écrire par d'autres une musique pas facile qui ne fait pas dandiner les trous de balle, il est mal.
lemgement lemg
Oroshi
  • Special Top utilisateur
J'ai une petite envie de m'exprimer sur le sujet..

Pour ma part, je télécharge toute ma musique maintenant.
Je sais, ce n'est pas bien, j'en ai pleinement conscience.

Mais pauvre étudiante que je suis! J'ai pas de fric, pourtant je viens d'une famille relativement aisée, mon argent de poche, c'est 0, on mdonne presque rien. Pas de bol les parents, hein..
Bref, je galère un peu pour m'acheter ce que je veux, livres, bijoux, vêtements, sorties... Alors les CD, c'est pas ma priorité.

Je dois avoir à peine une 20aine de CDs, dont 6 CD promo, 5 vrais CD achetés, le reste, du gravé.

La culture de malade.
Nan, la vérité c'est que sans le téléchargement, j'aurais eu une culture et une curiosité musicale digne d'un pigeon.
J'aurais probablement, allons soyons optimiste, une 20/30aine de vrais CD au grand maximum, et que du mainstream probablement.
Parce qu'internet offre la possibilité d'écouter une grande palette d'artistes, et que sans téléchargement, j'aurais vite abandonné mes coups de coeur, faute de moyen, coupant par là ma soif de découverte.
On peut dire que j'ai eu de la chance de commencer mon adolescence avec cette "liberté de télécharger".

Ya certains artistes qui me donneraient bien envie d'acheter leur CD, rien que pour montrer que je suis vraiment fan, et pour 95% d'entre eux, à la FNAC, c'est des trucs d'import, dans les 25€ + FDP. La seule chose qui est bien dans ce magasin, c'est les livres, faut pas se leurrer.
Mais pour l'instant, malheureusement, acheter par internet directement par les labels étrangers, c'est pas encore possible pour moi, même si c'est déjà beaucoup plus attractifs.

Cet été je bosse. Ce sera l'occasion à la rentrée scolaire prochaine de me faire quelques petits plaisirs, essayer les imports, ou pousser la porte d'un vrai bon disquaire.

Je suis quand même quelqu'un d'assez matérialiste. J'aime le fait d'avoir quelquechose de concret dans les mains, de posséder l'objet, le digipack, le bootleg, le CD avec image imprimé, c'est beau tout de même!
Mais faut faire des sacrifices...

Mine de rien, je me sens pas très 'coupable', pas mal d'artistes que j'écoute ne sont pas des gens qui roulent sur l'or. Ils ne vivent pas avec la musique qu'ils produisent, et pour certains, le téléchargement est même positif. C'est pas comme si mes téléchargements les achevaient.
Et pour ceux qui roulent sur l'or, ben, ils rouleront sur un peu moins d'or...
Quant aux majors, je verserai pas une seule larme.

Puis lorsque j'aurais enfin un bon boulot qui rapporte, si jamais ça arrive, croisons les doigts, je me lancerai dans le projet "j'achète ma discothèque mp3 en CD", parce que malgré tout, j'ai envie de payer les artistes que j'aime par respect.

Pour moi, le téléchargement reste une véritable aubaine. La grosse victime dans tout cela, c'est les majors, bouuuh.
Ca pose tout de même un problème... La musique 100% gratuite et les artistes? La dématérialisation de la musique?

Enfin bref, j'ai aussi pu voir sur des sites de téléchargements des messages fournis avec la musique tel que "si vous n'aimez pas, supprimez-le, si vous aimez, achetez-le".
Quelquechose qui me plait assez.
FIN. Navré pour le pavé.
Monsieur M
Oroshi a écrit :
Mais pauvre étudiante que je suis! J'ai pas de fric, pourtant je viens d'une famille relativement aisée, mon argent de poche, c'est 0, on mdonne presque rien. Pas de bol les parents, hein..
Bref, je galère un peu pour m'acheter ce que je veux, livres, bijoux, vêtements, sorties... Alors les CD, c'est pas ma priorité..

Tout cela se vole.

Une petite question sinon, pour ceux qui connaissent un peu les textes de lois, les enregistrement qui ont plus de 50 ans ne sont ils pas libres de droits ?



lui
Pendez-les tous.
Lärry
  • Vintage Total utilisateur
Monsieur M a écrit :
Oroshi a écrit :
Mais pauvre étudiante que je suis! J'ai pas de fric, pourtant je viens d'une famille relativement aisée, mon argent de poche, c'est 0, on mdonne presque rien. Pas de bol les parents, hein..
Bref, je galère un peu pour m'acheter ce que je veux, livres, bijoux, vêtements, sorties... Alors les CD, c'est pas ma priorité..

Tout cela se vole.

Une petite question sinon, pour ceux qui connaissent un peu les textes de lois, les enregistrement qui ont plus de 50 ans ne sont ils pas libres de droits ?



lui

C'est 50 je crois, oui, mais après la mort du dernier possesseur de droits.
Dans le cas de Hendrix par ex, c'est pas avant très longtemps.
A million flies can't be wrong.
Monsieur M
Lärry a écrit :
C'est 50 je crois, oui, mais après la mort du dernier possesseur de droits.
Dans le cas de Hendrix par ex, c'est pas avant très longtemps.

La possession de droits se transmet comment ?



lui
Pendez-les tous.

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