Tous les films que vous aimez - Au cinéma et à la maison.

Rappel du dernier message de la page précédente :
SharkFood
jam_ a écrit :
SharkFood a écrit :
J'étais allé voir le premier au cinéma avec la demoiselle qui allait devenir ma femme, c'était chiant, mais elle avait mis des talons hauts...bonne soirée quand même !
Forcément, t'as pas focalisé sur le sénat et le conseil Jedi, t'avais les yeux et l'esprit ailleurs


Et les mains en fait...
La modération vous a bloqué sur ce sujet pour non respect de la charte du forum.
Nous vous remercions de votre compréhension.
L'équipe de modération de Guitariste.com.
fabh
  • Vintage Méga utilisateur
Je trouve que le 2 est le plus mauvais des trois. A l'époque c'était impressionnant mais aujourd'hui c'est inregardable tellement les images de synthèse ont mal vieilli...
Biosmog: "T'es franchement pathétique."
SharkFood
fabh a écrit :
Je trouve que le 2 est le plus mauvais des trois. A l'époque c'était impressionnant mais aujourd'hui c'est inregardable tellement les images de synthèse ont mal vieilli...


Je suis d'accord avec toi, j'ai eu envie de m'y remettre mais rien qu'en voyant les images j'ai abandonné, quand tu vois comment T2 vieilli super bien par contre...
La modération vous a bloqué sur ce sujet pour non respect de la charte du forum.
Nous vous remercions de votre compréhension.
L'équipe de modération de Guitariste.com.
fabh a écrit :
Je trouve que le 2 est le plus mauvais des trois. A l'époque c'était impressionnant mais aujourd'hui c'est inregardable tellement les images de synthèse ont mal vieilli...
Ah bah chacun ses opinions, je respecte... c'est quand même surprenant qu'on soit à l'opposé sur le coup... quoique pour les images de synthèse... c'est pas que ça ait mal vieilli, c'est surtout qu'il n'y a quasi que ça dans la trilogie.
Ça doit être le côté guimauve Anakin/Padmé qui t'as fait détester le second, non ? Parce que c'est quand même LE truc qui prend le pas sur le reste, surtout à partir de la moitié du film...

Tiens, un truc qui me revient : souvent, les vaisseaux font des loopings. Et les gusses dedans, ils ne sont pas attachés. Ils ne recouvrent pas les vitres des cockpits de queues de renards ? C'est pour le moins surprenant.
microwAves
jam_ a écrit :

Tiens, un truc qui me revient : souvent, les vaisseaux font des loopings. Et les gusses dedans, ils ne sont pas attachés. Ils ne recouvrent pas les vitres des cockpits de queues de renards ? C'est pour le moins surprenant.



Toi y'a que ça qui te surprent d'un point de vu scientifique?
fabh
  • Vintage Méga utilisateur
jam_ a écrit :

Ça doit être le côté guimauve Anakin/Padmé qui t'as fait détester le second, non ?


Même pas. C'est vraiment toute la grande bataille contre les droïdes, et l'abus d'images "3D".
Quand je l'avais vu au cinéma je me souviens que j'avais plutôt bien aimé. Mais j'ai voulu le revoir l'année dernière, et ce n'était pas une bonne idée....
Biosmog: "T'es franchement pathétique."
microwAves a écrit :
Toi y'a que ça qui te surprent d'un point de vu scientifique?
Non, certes... mais bon, c'est de la SF, donc ils peuvent se permettre quelques digressions par rapport à ce que nous connaissons (et je suis une quiche de premier rang en physique). Mais le coup des loopings sans dégueuler, où que tout se retrouve en vrac dans l'habitacle, ça m'a laissé perplexe.

Oui, tu me diras, les explosions dans l'espace, ça s'entend pas... entre autres... oui mais s'il y a des êtres vivants type humanoïde, ils respirent de l'oxygène, et quand une planète pète, c'est logique qu'il y ait déflagration... non ? Ah bon, alors je vais me coucher

Mais c'est vrai que bataille de vaisseaux et explosions, en plus du bruit des tirs, ça fait tache... mais imagine ça sans aucun son. Manque plus que le piano en fond, joué par un vieux avec le boc de bière posé sur le bastringue

fabh : c'est vrai que ça avoine sévère niveau graphisme... je n'ai pas trouvé que ça jurait par rapport aux deux autres
Doc Loco
jam_ a écrit :
mais bon, c'est de la SF


Même pas - du Space Opera. Alors oui toutes les licences "scientifiques" sont permises - voire recommandés.
In rod we truss.

"Quelle opulence" - themidnighter

"It's sink or swim - shut up!"
jules_albert
En 1979, date de la sortie de Le Grand Embouteillage (L’ingorgo – una storia impossibile), l’âge d’or de la comédie italienne est révolu.

Les principaux cinéastes qui l’ont l’illustré vont signer des œuvres dont le ton s’éloigne de plus en plus de l’humour, même très noir, qui caractérise les classiques du genre. Parce qu’elles ont observé et critiqué avec ironie l’évolution de la société italienne depuis la fin de la guerre jusqu’au boom économique, les comédies de Risi, Monicelli et Comencini ne peuvent que devenir plus pessimistes, sinistres et même tragiques avec l’aggravation de la corruption, la crise sociale et politique, le terrorisme et la violence qui frappent l’Italie de la fin des années 70.

Luigi Comencini, cinéaste pourtant réputé pour son humanisme, signe ici un monument de noirceur au point que Le Grand Embouteillage n’a plus grand-chose à voir avec la comédie, et se transforme progressivement en fable apocalyptique sans aucun espoir. Le film prend pour point de départ une réalité (les énormes embouteillages qui paralysent le trafic routier à l’entrée de Rome, déjà illustrés dans une scène de Roma de Fellini) pour déboucher sur une vision cauchemardesque et allégorique du monde moderne en général et de la société italienne en particulier. Plusieurs échantillons de la population, industriels, intellectuels, artistes, petit-bourgeois ou prolétaires, pris au piège et obligés de cohabiter, entassés dans leurs voitures, laissent éclater leur bassesse, leur médiocrité ou pire, leur ignominie. Les deux seuls personnages sympathiques, un conducteur de camion et une jeune hippie, seront sacrifiés au nihilisme du film, lui passé a tabac et dépossédé de son chargement par des pilleurs, elle violée par trois voyous dans une scène particulièrement désagréable.

Le Grand Embouteillage parvient à créer un véritable malaise chez les spectateurs, en dépassant les limites de la satire italienne pour se rapprocher des films français de Luis Buñuel comme Le Charme discret de la bourgeoisie, avec de surprenantes incises surréalistes et un climat général qui dérape vers l’absurde et le cauchemar.
http://www.arte.tv/sites/fr/ol(...)cini/



Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
Ed Pero
Intéressant, j'essaierai de le voir avec des sous-titres... quoi que je me surprends à comprendre l'italien parfois.

J'ai vu Jeune et Jolie de François Ozon (que je ne supporte pas d'habitude, mais bon deux heures à tuer et pas d'autre choix)... même s'il s'agit du passage obligé du film d'auteur français avec poil au cul, de la jeune et jolie actrice qu'on voit forcément à poil et dans des situations avilissantes (Emmanuelle Béart a cumulé les rôles de prostiputes, il faut croire qu'on n'a rien de plus consistant à proposer aux belles actrices en France), je me suis laissé surprendre par le ton du film.

Visuellement, ça hésite entre le film érotique et le film assez sage (tout ce qui est sexuel est hors champ, donc par l'ombre d'une zigounette ni d'une fouf et absence total de prothèses, ouf) et scénaristiquement on est clairement dans la vision d'un homme qui a renoncé à comprendre les femmes. Ozon n'a cessé de les dépeindre comme prédatrices (swimming pool, 8 femmes) ou vivant leur ascension (Potiche), ici c'est la psychologie d'une femme qu'il tente de mettre en scène. La raison qui pousse Isabelle (Marine Vacth, superbe et bien meilleure actrice qu'on a pu le lire) à se prostituer est assez incompréhensible. Aucun traumatisme, juste une déception alors que tout semblait réuni pour débuter une sexualité heureuse : son premier amant germanique tendre au physique d'éphèbe la prend sur la plage l'été de ses 17 ans, un peu égoïstement entre deux caresses sur le front. Isabelle, peut-être en quête d'une sexualité moins plan plan, se prostitue ensuite et se donne à des vieux riches. L'un d'entre eux, Georges, est entre la bienveillance et le sentiment amoureux. Ayant des problèmes de coeur, il ne la pénètre pas... jusqu'au jour où ils font enfin l'amour et qu'il succombe à une crise cardiaque. Les activités d'Isabelle sont alors révélées par la police à sa famille.

Etrangement, si on pouvait s'attendre au pire, c'est dans la subjectivité d'Ozon et l'absence totale de réalisme qu'on y trouve une part de vérité. Celle des hommes qui désirent comprendre les femmes et leurs silencieux mystères sans jamais totalement y parvenir. Isabelle est une paumée au visage d'ange, qui désire avec chaos, choisit sans critère et sème la douleur pour y retrouver la sienne.
fabh
  • Vintage Méga utilisateur
C'est beau, on dirait du Télérama.
Biosmog: "T'es franchement pathétique."
Bad Monkey
Film mythique! Sordi est encore très grand dans celui-là!!!
"You'll never come up with your own gear, untill you've copied.
That's the best thing. Just steal!"

-Ritchie Blackmore

“I may not be the greatest guitar player in the world,
but I’m 100 times better than everyone else. ;)”

–John Norum
Ed Pero
fabh a écrit :
C'est beau, on dirait du Télérama.


Ca fait longtemps que tu n'as pas lu un Télérama ? Moi ça doit faire 25 ans...
Raphc
  • Custom Supra utilisateur
fabh a écrit :
C'est beau, on dirait du Télérama.


En fait c'est un copié-collé d'Arte.
bobofran
Vu Frankenstein Army hier soir ...; Effectivement c'est spécial. J'ai mis un peu de temps à rentrer dedans mais c'est assez barré ...


Si vous êtes un fan du genre Gore Série B, allez y, vous y trouverez votre compte si ce n'est pas le cas, abstenez vous ...

Moi perso çà a fait le job ...
Dernier son : Compilation Mr PSYCHO ROCK Vol.1 : https://youtu.be/cL_hs5SN3R4?f(...)hared

MES VENTES (suspendues pour le moment) :
https://www.guitariste.com/for(...)72037
MIA WALLACE
sans même parler de l'aspect gore, la façon dont c'est tourné, la photographie, les personnages, tout rend ce film malsain
Salut G.COM, ça roule ?

SUPERBUS , STRAY CATS , BRMC

"regarde-le moi ce communiste, je t'enverrais tout ça à Moscou"

En ce moment sur backstage...