ZePot a écrit :
... parce que la joie est un sentiment précieux et délicat, qu'un rien peut gacher. On ne la raconte pas, on la garde pour soi pour la protéger. D'autant plus qu'une joie extrême, comme tout sentiment exceptionnel, suscite plutôt l'incompréhension de ceux qui ne la partagent pas, qui amène cynisme et moquerie.
Les joies les plus intenses que j'ai vécues découlaient d'événements inspirant l'espoir soudain, la confiance absolue que l'avenir allait être heureux: tomber amoureux, écrire une chanson, l'enregistrer et écouter le résultat pour la première fois, avoir une réponse positive d'EMI sur mon répondeur...