morbius a écrit :
ShingXL a écrit :
morbius a écrit :
Il n'y a pas de désir qui ne soit suivi de déception, de jouissance qui n'amène le dégoût. Le passé ne nous appartient pas; le présent est un moment qui fuit sans cesse, qu'on ne perçoit qu'alors qu'il s'évanouit ; l'avenir est une page fermée et indéchiffrable. L'enfant n'a point conscience de lui-meme ; le jeune homme, plein d'illusions et d'idéaux, cherche à embrasser des fantômes et à réaliser des rêves ; l'homme mûr se démène pour maintenir une existence dont il connaît la trame fragile, et voit déjà le terme prochain ; le vieillard assiste à sa destruction, torturé par la maladie et miné par le chagrin.
La vie est souffrance
la souffrance est nécéssaire à la survie de l'homme...
Certe, ce qui ne tue pas rend plus fort. Ce que je n'accepte pas c'est que le souffrance des uns soit une source de satisfaction voir de jouissance pour les autres
D'ailleurs, puisque le ridicule ne tue pas, il rend plus fort
Et pour le reste... Question de développement intellectuel...
j'aimerais somme toute ajouter, que sans souffrance, pas de plaisir...
Et c'est ce pourquoi nous nous "tapons tous les jours la tête contre les murs" (le boulot, la famille, les gens à supporter, les bouchons...) : tout simplement parce que ca fait du bien quand ca s'arrête
Trève de conneries, si nous n'étions pas capable de souffrir, nous ne pourrions pas prendre de plaisir puisque nous n'aurions rien par rapport à quoi nous baser pour se dire "tiens, c'est agréable". (et lycée d'versailles)
"she said I'll throw myself away..."