Vos moments de solitude ?

Faust t'es un bon !


Il faut que je vous raconte mon opération du poignet ! Au mois de février, grâce à un puissant tir de hand ball que j'ai arrêté comme tout bon gardien, j'ai eu le scaphoïde cassé (un os du poignet). Comme cet os est un os qui met beaucoup de temps à se ressouder, le chirurgien décide de m'opérer pour me poser une vis. Arrive le mois d'avril, et donc l'opération. Le matin tout va bien, je me prépare, ma mère m'emmène. Et là, première merde: on se rend compte qu'on a oublié la radio de mon poignet sur le pas de ma porte, le genre de truc qu'il ne faut surtout pas oublier sinon pas d'opération. Donc ma mère repart les chercher, en attendant une infirmière me tond le poignet et me donne un premier cacheton, un calmant (j'étais très stressé d'avoir oublié les radios et surtout de me faire opérer en étant conscient). Je pars sur un brancard dans la salle avant le bloc, et je vois toute l'équipe qui va m'opérer discuter, et là, y'en a un qui dit: <<Il a oublié ses radios>>. Je vous dis pas le florilège de <<Nan tu déconnes>>, <<C'est pas possible>>,... Et puis j'entends un sympathique <<Faudra penser à changer de cerveaux monsieur>>. Je vous dis pas la grosse loose, allongé sur le brancard avec une espèce de chemise bleue et le truc dans les cheuveux essayant d'avoir l'air de rien en faisant semblant de s'interesser au poster montrant les muscles du corps sur le mur face à une équipe de chirurgiens se foutant à moitié de ma gueule... Mais c'est pas tout ! L'anesthésiste commence alors à m'endormir le bras (c'est une anesthésie locale). Pendant qu'elle cherche le nerf, je vois mon bras qui commence à avoir des sortes de convulsions. Comme elle voit que je suis stressé, elle me balance un calmant par la perfusion que j'avais (deuxième). Bon, là j'avoue que je me suis sentit un peu plus détendu. Elle continue, et après, je migre encore dans une autre salle, toujours en attendant ma mère et les radios. Dans cette salle, une infirmière parle de je sais plus quoi et voit que je suis un peu stressé. <<Je vais vous mettre un petit calmant>> (le troisième). Et là ben ça m'a vraiment calmé de chez calmé ! Je sais pas ce que c'était, mais super calmant (normal !!), l'impression de flotter, entre sommeil et éveil, enfin terrible. Et puis elle continue à me parler (en merdant dans sa manipulation de l'aiguille de ma perfusion ce qui fit couler pas mal de sang au passage) et d'un coup, elle se rend compte qu'elle parle dans le vent. J'imagine bien l'air que je devais avoir: niais, voire simplet, les yeux vagues, la bouche ouverte et peut être, summum, un petit filet de bave tombant. Phrase mythique: << Oulà vous êtes à l'ouest là monsieur>> ! Voulant la rassurer je lui sors une sorte de <<On On, ou waaa IIenn, waaaa ou on aaa euuuuuuu...>>, ce qui, bien évidement échoua, et en plus, lui fit regarder son collègue en disant << Oulà mais il est à l'ouest là !>>. Puis on me transfère dans la salle d'opération, mes radios étant arrivées. Dernier moment foireux de ma part. Ils commencent à mettre le rideau, et, de mon côté, je redescent sur terre très très stressé, toujours à l'idée de me faire percer un trou dans le poignet à la perceuse en étant conscient. Donc re calmant (si je me souvient bien), quatrième, mais là, vraiment plus rien, gros stress, angoisses,... Mon bras était endormis mais j'avais des sensations dans les doigts, ce qui me faisait encore plus peur. Tout vas bien me dis l'anesthésiste. Et là c'est le drame, ils commencent à ouvrir et je sens le scapel (le froid de la lame surtout) malgré l'anesthésie (le médecin anesthésite m'avait dis que ça arrivait très rarement en cas de gros stress) donc je sors << Waaa vous avez ouvert !>> super angoissé. La seule chose dont je me souviens à partir de ce moment, c'est de voir l'anesthésistes me foutre le masque à gaz sur la tronche pour m'envoyer dans les vapes avec une expression faciale semblant dire <<Putain ils nous aura fait cheir jusqu'au bout celui là !>>. Dernier petit moment de solitude, je me réveille doucement, et, première chose que je demande à l'infirmière (après l'heure), c'est si je vais pouvoir écrire (j'avais des dossiers en retard à faire pour le bac). Elle me regarde avec un sourire et me sort un <<Je crois que ça va être compromis là>>. Bizarre, c'est comme si elle se foutait de moi je me dis. Et puis je l'entends dire à son collègue <<La première chose qu'il me demande c'est si il va pouvoir écrire>> avec un air de <<Tu te rend compte le blaireau !!>>. Puis, sortant de ma torpeur, je me suis rendu compte que tout mon bras était munit d'un ENORME plâtre, m'immobilisant jusqu'au doigts. Et c'est là que je me suis dis que jamais plus je me casserai quelquechose...

N'empêche, ils ont du bien rire le soir en se racontant cet épisode...

Pfouahh excellent !

T'es très gentil quand même dies.. La dernière fois qu'une infirmière m'a parlé comme ca (c'était aux urgences, je faisais chier madame avec mon frère qui faisait un oedème de Quinck suite à une piqure d'insecte) elle s'est prise une lettre de plainte (enfin, c'est le directeur de la clinique qui l'a reçu) et une mise à pied (ca, je l'ai su par une ex collègue à ma mère qui taffe dans cette clinique maintenant)...

Sinon, ca m'a fait penser à mes deux opérations de la main, quand on a dut me mettre puis me retirer mes broches.

La première, j'ai gouté (comme toi) aux joies de la neurolèpe... Ma mère était passé voir ses anciens collègues, dont l'anesthésiste (avec qui elle taffait dans un autre ostho, j'vous raconte pas le bordel ^^). Et bien selon ma mère, j'aurais tenu des propos incohérents et chanté starway to heaven le temps qu'on m'emmène à la salle d'op... Je me suis réveillé dans ma chambre...

La seconde, re neurolep (j'étais content :lol, mais la je suis resté conscient plus longtemps, donc double dose (l'infirmière appelait ca du "champagne" ^^) pour éviter les problèmes dus au stress. La, apparement, je suis tombé net, black out... Pour me réveiller quelques minutes plus tard complètement dans le gaz. Je voyais à peine où j'étais, la seule chose nette c'était des notes de musique... Je me suis concentré et la pas de doute : soit j'étais dingue, soit quelqu'un écoutait "master of puppets" dans cet hopital... La vision toute brouillée (j'avais pas mes lunettes, et je suis super myope), je me rends compte que je suis entravé sur qqch, je regarde à gauche : c'est gris ; à droite, c'est vert... Je comprenais plus rien, je commençais à "stresser" (le stress sous neurolep c'est marrant, en fait on est "normal" :lol et j'entends un "PUTAIN COMPRESSE CA PISSE LE SANG".

Explications : ma neurolep a arrêté de faire effet alors que j'étais sur la table d'op (c'est pas l'anésthésie hein) et je me suis réveillé alors que la 2nde chanson de l'album passait sur le lecteur du médecin, qui m'avait entaillé la main pour me retirer ces fuckin' broches et qui donc faisait remarquer à son infirmière que je perdais quelque peu mon hémoglobine...
Wala pour le premier gros flip, se retrouver dans une ambiance pareille en n'y voyant rien et en se rendant compte qu'on est entravé est horrible...

Le second, ca a été comme toi dies : sentir le médecin s'acharner et me secouer la main pour faire sortir une des deux broches...

Le troisième : se rendre compte qu'en enlevant la broche du premier métacarpien, le médecin t'a cassé le deuxième (normal apparement, du a une nécrose de l'os à cause des broches) ==> allez hop, 3 semaines sans guitare (version officielle, je remercie mon frère et son médiator "orthopédique" :lol de plus...

On est fait pour s'entendre flomarceau ! Ca doit être terrible d'être conscient pendant l'opération, enfin moi j'aurais pas supporté la perceuse et l'odeur d'os qui chauffe... Rien que d'y penser ...

Ah non, moi c'était pas à ce point, un coup de bistouri, on écarte, on vire les broches et on referme.

La première, j'étais inconscient

Comme Dies Irae je me suis pété la main au hand ball (mais moi c'était sur un putain de plongeons avec une réception sur les doigts ). Du coup de vais aus urgences et déja c'est chiant parce qu'ils ne sont pas trop pressés la bas. J'attendais dans une salle, et 30 min plus tard arrive un homme qui a la cinquentaine et une petite jeunette a coté (pas si moche que ca si je me souvient bien). L'homme la briefée sur la façons de me platrer puis il est partis me laissant seul avec la demoiselle (hmmmmm ). Et c'est la qu'elle m'explique qu'elle est stagiaire. Et une stagiaire, et ben ca a pas beaucoup d'experience !
Du coup elle m'a platrée la main pliée et les doigts pliés, donnant a ma main une petite allure d'autruche. Et va dormir avec une main en forme d'autruche !!!!!!! Ca faisait mal dans tout les sens.
Et va poser une main en forme d'autruche sur une table quand t'en a marre de ton attelle !!!!! Essaye d'etre crédible auprés de tes potes avec une main en forme d'autruche !!!!
Encore heureux ca m'a permis de rater un controle surprise cette main pétée

A oui aussi !!! Comment faire passer une main en forme d'autruche dans le manche d'un pull ???? Et ben tu souffres

Arg !!!

On m'avait raconté ca avec une dent mais la c'est quand meme beaucoup plus trash !

sa me rappele un énorme moments de solitude

je fesait de la gym au collège et pis on devait faire la gym avec trois autre classe,

et puis on devait faire un concours ,il fallai courire jusque au cône à l'autre bout de la salle ,et c'est là que vient mon tours de courire

je cours comme sa tranquille sans stresser en pansant à autre chose et la j'ai oublier de contourné le cône et j'ai foncé droit dans le mure

sur le moments personne ne comprenait et pour finir je suis allé à l'hosto parce que je me suis peter le bras

et resultat tout les profs se sont foutu de ma gueule quasi tout les élève aussi

maintenant je suis une légende urbaine dans mon bled

n'ampèche que sur le moments je fesait pas le fière

Lol moi j'en ai un assez simpa enfin...
Une fois j'étais avec ma copine et iavais d'autres personnes quand meme donc bon la conversation prends forme, les mecs commencent a orienter sur le sexe (eh oui ^^). Le romantisme moi j'ai jamais compris ce que c'étais ça commençais a etre trop évolué pour moi, ma seule intervention dans la convers "ouais enfin faut pas oublier que le sexe c'est quand meme un pénis entre deux jambes hein?" (modifier un peu les mots quand meme).
Un gros blanc qui s'en suis, un petit pincement sur la joue et plus personne sur les genoux Le lendemain ma copine devenait mon ex...

Alala franchise a la ***, j'ai pas été fin sur ce coup

Allez, une petite dernière pour la route . . . . . .

y'a quelques années, j'habitais une ville qui n'était certainement pas connu pour ses soirées de folie, et puis traîner ds les cafés, ça allait un moment. Moi et potes étant des hommes (hahahaha) d'action, pour nous il fallait que ça bouge. . .
Comme les gens ne bougeait pas, on les a fait bouger . . .

Un petit- pot pourri des mes soirées merdiques qui nous ont valu de gros moments de solitude : ATTENTION y'a des passages gore !!!

1- Les GARS DU CHANTIER:
Non, non, ce n'est pas le titre du dernier boulard passé sur canal +.
Qd on se faisait vraiment chier, on avait l'habitude d'allait visiter les chantiers de construction.
Une fois un pote avait une putain d'envie de chier, il trouve les chiottes de chantier qui sentent bon la rose, et qui doivent etre pleines de tout ce que vous pouvez imaginer. D'ailleurs on sentait et on voyait bien qu'il ne devait pas être le premier utilisateur (ben ouais, y devait au moins être deux à passer avant lui, ben ouais, y'avait deux couleurs différentes . . . )il se casse faire sa grosse commission....
Hé ben comme des grosses enflures on a pris au moins 30 mètres d'élan et on est arrivé les deux pieds en avant sur les chiottes.
La cabine s'est mise à tanguer, mais n'est pas tombée, mon pote est sorti en hurlant les pires atrocités que j'ai jamais entendu, avec le fute et le calbute sur les chevilles, et du PQ ds la main, ce con était en train de se torcher . . . .
Ben y devait etre vraiment inconscient, car il est reparti ds le chiotte pour terminer ce qu'il devait terminer, on a repris 30 mètres d'élan, mais il s'est éjecté avant l'impact....

2- Les FAST-FOOD:
Allez à Mc do qd le resto est bien blindé de monde, avec des amis et des amies (importantes les amies), parlez fort, lancez des vannes à deux balles pour que tout le resto vous regarde, prenez un couvercle de boissons, celui avec l'entaille en croix pour la paille, passez votre langue dedans pour faire rire vos potes, essayez de le retirer, les piques de l'entaille vous rentre ds la langue, vous gueulez, tout le monde vous regarde la langue pendante passée à travers ce putain de couvercle, vos amies font comme ci elles nous connaissaient pas, vos amis se pissent dessus tellement vous avez l'air niais et con, les tables voisinent sont éclatés de rire.
Si vous aviez un plan drague avce une des demoiselles présentes, c'est mort. Voilà, vous êtes seul.

3- Les PETARDS:
Attention, pas de guedro, ici je parle des vrais pétards, ceux qui font BOUM.
Achetez 50 € de pétards (des qui claquent forts), un briquet, et sillonnez les rues endormies de votre ville, vous verrez que vos pas vont immanquablement vous amenez chez les gens que vous détestez.
Un bon gros ds la boîte aux lettres, Boum et on trace.
Après on a fait des variantes, trois gros pétard autour d'une capote remplie d'encre . . .
La plus belle reste la suivante:
plusieurs sauces tomate et mayo de chez Mac do (5, 6 au moins), avec des élastiques, entourez les autour de deux gros pétards, entortillez les mèches pour qu'ils s'allument et explosent en même temps. Allumez, ça explose, ça repeind, courrez !!!!!
Le problème c'est que la première fois on l'avait fait ds un champs, pour voir ce que ça donnait, mais le problème c'est qu'on avait abusé sur la quantité de sauce et sur les pétards, de plus on s'est pas assez éloigné.
Résultat, comme on avait le vent de face, on s'est quasiemment tout mangé , on a été repeint de la tête aux pieds. On a du aller se laver à un éléphant bleu, à coup de karcher, à 3 bornes de là.

4- LA SOIREE BEUVERIE:
Grosse soirée chez un pote de fac, il me dit que je peux inviter 1 copine.
J'invite donc une copine, très très très bien roulée, tendance un peu gothique (habillée en noir, pas aimable, peu souriante ...), enfin c'est surtout un genre qu'elle veut se donner.
La soirée commence, tous ds la piscine, on vide des verres, on se marre, elle un peu moins vu que tous les pénibles de la soirée viennent la faire chier, mais par contre elle a la descente facile.
2 heures plus tard, la voilà fin ivre morte, et là elle nous fait son show "je suis la femme DIOR", en gros venez voir une superbe gonzesse poser des galettes un peu partout ds le jardin.
Je l'intercepte, je la pousse vers le bout du jardin pour éviter qu'elle ne "pollue" la piscine par ses remontés de vinasse, je lui tiens ses (longs) cheveux pour éviter qu'elle gerbe dessus. (c'est ça les amis, qu'est ce qu'on ferait pas pour aider une pauvre bombe sexuelle en détresse ?!?)
5 mn + tard, elle arrête de vomir, mais en la ramenant vers la civilisation, je me rends compte qu'elle est complétement déchirée. Elle tient plus debout, elle tient pas sur une chaise, donc on s'assoit par terre et je lui tiens un peu compagnie . . .
Faut qd même préciser que cette fille se transfome en quelqu'un d'autre sous l'effet de l'alcool, elle parle beaucoup plus, elle sourit (elle sourit avec un air de conne, mais elle souris qd même), elle parle aux inconnus, même aux lourdingues qui lui font des plans drague. . . .
Mais à un moment, elle se met à rigoler, et à se laisser totalement tomber sur la pelouse, elle recommence plusieurs fois, jusqu'au moment où elle a pas vu le petit muret.
Elle se prend juste le coin du petit muret en briques juste sur le haut du crâne. Elle se relève, et elle se met à hurler à la mort en gueulant des "j'ai mal, putain de merde, j'ai mal . . . ."
Bien sur tout le monde rapplique, elle commence à saigner un peu, elle voit du sang sur sa main, elle regueule encore plus fort en traitant tout le monde de pd ou de connards.
On la ramène à l'intérieur, un pote en médecine l'examine, (elle doit avoir tellement d'alcool ds le sang que la désinfecter ça a servi à rien), c'est bon, juste une coupure sur le cuir chevelu, mais bon, il lui pose une compresse d'alcool sur la plaie, ce qui ravive la douleur et lui redonne du souffle pour traiter tout le monde.
Hé là, elle nous regarde, toujous bourrée, nous injurie, regarde derrière nous et balance bien fort :"Et toi la Pouffiasse, t'es habillée comme une pute, tu veux ma photo conasse. . . ".
Nous pensant que c'était une meuf de la soirée, on rigole, en lui disant de se calmer, on se retourne, et là, gros moment de solitude, c'était la mère du gars chez qui on était. Cette conne avait traité la maîtresse de maison ! ! ! ! !
Heureusement, elle a vu qu'elle était bourrée, alors elle a trop rien dit, nous on s'est excusé 20 000 fois en disant excusez là elle est malade....

Le pire c'est qu'au réveil elle se souvenait de rien (soi-disant), mais elle a qd même été s'excusée et a fait livrer des fleurs de retour chez elle. . .


Voilà, voilà


Faust XIII

Ah ouai quand meme

le coup du mcdo est énorme :mdr: :mdr:

mort de rire l'histoire de la goth dechirée. magnifique sincerement.

pour rester un peu ds le trip ds os pétés, petit fox alors agé d'une 10aines d'années en cours d'eps en 6è, alors que la prof ne surveille pas il court fièrement et plein de joie en direction de la barre fixe, saute sur un espece de tremplin, s'envole, pose ses 2 mains sur la barre fixe mais oublie de s'acrocher et tombe en basculant tête la 1ere en direction du tapis....clavicule pétée... mais à 10ans quand on se pète la clavicule on le sait pas, on sait juste qu'on a mal...bref j'en parle à la prof quand même qui s'en branle comme son dernier tampax, et elle me laisse rentrer chez moi tout seul, le truc c'est que nous n'étions ps ds le gymnase du collège, mais ds un gymnase située à 10mn à pied, et je suis rentré cartable portée par un copain jusqu'au bus, puis après le dépos du bus en trainant mon cartable jusqu'a chez moi avec l'autre bras, vive l'éducation nationale!! déjà à mon époque c'était merdique...

voili et une autre petit moment de sol arrivé hier pour tout à l'h

J'etait tout a l'heur a un mariage avec une famille de Paris, et une autre de Toulouse. C'est vrai que les Petite femme de Toulouse sont charmante et tout fiere de moi je vais envoyer le raport a un pote je lui met la main sur l'epaule et avec un magnifique et romantique "Mais dis moi, ya du fion a Toulouse ?" malheureusement je me suis rendu compte trop tard que c'etait pas mon pote ...

allé le ptit moment d'hier, alors en fait il était 3h du mat et je commence à tchater sur msn à moitié pété, j'ai devt moi un verre de coca et un verre de jus de fruit que j'avais laissé trainé...après avoir vidé mon verre de coca, je joue avec tout en racontant ds conneries sur msn à ds filles encore plus pétés que moi...et là j'ai une révélation, une image, je me suis souvenu que losque j'étais gamin j'avais un gros coquillage que je mettais à l'oreille pour entendre le bruit de la mer, et j'ai eu l'idée de faire pareil avec mon verre, l'expérience est édifiante, ds un simple verre je pouvais entendre le bruit ds vagues carréssent les rochers sur la cote , j'en parle à mes contacts msn qui st en transe de rire quand elles ne st ps en train de vomir..., c'est alors que pris ds un trip extraplanétaire, j'eu l'idée de faire l'expérience en stéreo, oui mais pour ça il me faut un 2è verre, ça tombe bien j'en ai un juste à coté, et hop me voilà avec deux verres sur les oreilles, quand après quelques instants du à une lenteur de connectique, je sens une sorte de liquide collant dans mon oreille qui coule tout le long de mon corps, sur mon bermuda, ma jambe et enfin par terre

:mdr: :mdr: je t'imagine avec deux verres en plastique sur les oreilles, du jus d'orange partout devant ton ordi en ne comprenant pas ce qui t'es arrivé :mdr: