bobbely a écrit :
Bobba a écrit :
skid row a écrit :
Nounours a écrit :
J'ai une place en fosse
Je ne suis plus sur Paris, alors si par malheur j'ai un partiel le lendemain matin (ça tombera à ce moment là), je revendrai ma place au prix d'achat (je viendrai faire un tour ici à tout hasard
). Mais je ne saurai probablement qu'au dernier moment.
j'me demande cb de personnes sont en train de se dire "pourvu qu'il ait partiel le lendemain!!"
mais bon je ne te le souhaite quand meme pas
Ca sera aussi la période du Bac si je ne me trompe pas
Euh non, c'est un peu plus tard si je ne me trompe pas, et même si c'est à ce moment j'en ai rien à faire j'y vais quand même (tout de façon y a pas d'épreuve le soir
).
Sinon juste pour dire que j'ai des places en fosses, et que j'ai trimer pour les avoir (fallait être le 1er à carrefour), et que franchement je voit mal 16 000 personnes dans la fosse donc si toutes les personnes des gradins veulent migrer dans la fosse tout ceux qui auront leur place en fosse vont être un peu dégouté, désolé de vous dire ça mais j'ai pas envie d'être hyper serré pour passer un concert de merde alors que j'ai eu mes places honnêtement.
Pour avoir vu le service d'ordre de Bercy à l'œuvre, je m'inquiète pas trop pour ça.
En plus il faut bien se rendre compte que dans la fosse, pour bien voir, il vaut mieux etre vers le milieu de la salle, et vers le milieu ça commence à devenir chaud pour tenir une heure. Bref, les gradins, c'est pas si mal, au moins la vue est dégagée. Tu peux pas pogoter évidement, mais y'a quand meme une ambiance de folie.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969