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- Publié par
Bobba le 23 Juin 2005, 09:36
petit debriefing du concert d'hier soir :
Bon deja les concert qui commencent tot c'es bien (tu peut aller boir un verre apres et rentrer chez toi en metro) mais 19h faut pas abuser non plus... Pas sympa pour ceux qui bossent jusqu'a 18h...
Ensuite je ne sais pas si c'est normal mais le zenith hier soir c'etait un veritable four ! Il faisait plus de 30°C dedans, (plus chaud que dehors!) pas de ventilation, pas de clim, atmoshpère humide. Je comprend pas comment on pouvait tenir dans la fosse.
L'autre (bon) coté de la chose c'est que les (nombreuses) (jolies) (jeunes) filles etait tres (tres) court vetue (voir pas vetue !).
Première partie tres sympa : une fille au piano chant avec son batteur. Magnifique interpretation du "port d'ammsterdam". Je m'attendais a ce que le groupe soit sifflé mais meme pas ! (au passage, sympa la reprise des queen of the stone age)
Puis arrive NIN. Je ne connaissais le groupe que de reputation.
Le son etait plutot bon, pas tres fort, un peu brouillon par moment. (1, 2 ou pas de guitare, j'avais du mal a saisir la difference )
Les morceaux calmes etaient sympa et tres clair.
Puis il y'a le coté un peu allumé du groupe, bon, je trouve qu'ils en font un peu trop... Trent detruit les pied de micros (et les micros) à tour de bras, et il y'a toujours un roadies pour en remettre un nouveau immediattement. C'est un peu ridicule, on dirait du Saez
il me semble qu'il a zappé quasi-entièrement les paroles d'une chanson calme d'ailleur, car il etait occupé a massacré un stroboscope recalcitrant.
Voila voila, concert sympa, chaud, mais bon pour moi c'est comme Marilyn Manson : j'accroche deux trois chansons, pas plus...
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969