Bach c'est de la merde...

moi c'es mon cas...la vie est vraiment dure..

ok bien capté j'ai compris ce que tu voulais dire

Pour une fois qu'on se frite pas

Ils s'aimerent et eurent bcp d'enfants ...

arrête c'est degeu...jvais vomir toutes mes Knaki...

La prétention à l'universalité du jugement: c'est beau est-elle justifiable? La subjectivité peut-elle dépasser la particularité pour accéder à la vérité? Ce qui s'éprouve peut-il prétendre à l'universalité? Est-il possible de résoudre la contradiction entre un jugement de goût posé par un sujet et un jugement universel, qui doit être partagé par tous?

Ce que le jugement c'est beau exprime c'est essentiellement une satisfaction de voir, d'entendre, de comprendre ... Cette satisfaction n'est liée ni au plaisir comme satisfaction d'un besoin ni à la satisfaction de connaître, ni à celle du devoir accompli.

Quelle est donc l'origine de la satisfaction qui fait prononcer le jugement c'est beau? Y aurait-il une sorte de sens commun en chaque homme? Qu'est-ce qui peut satisfaire pleinement un homme sinon la possibilité d'exercer librement ses possibilités? Comme être raisonnable sensiblement affecté, l'homme se manifeste comme entendement, imagination et sensibilité. Or la satisfaction du devoir exige le sacrifice des appétits, la satisfaction de la connaissance exige la détermination du sensible par le concept et la satisfaction des appétits exige le renoncement au devoir, comme si chaque satisfaction exigeait un sacrifice, chacun ne pouvant s'obtenir qu'au prix d'un sacrifice, d'un renoncement, d'une absence:
Dans le plaisir l'homme perd la conscience, dans la connaissance conceptuelle il perd l'existence et dans le devoir il sacrifie sa générosité restreinte.
L'universalité du jugement esthétique apparaît donc comme la conséquence de la liberté, de l'existence.
La satisfaction est comparable à celle d'un jeu où l'on se passerait une balle: telle interprétation que l'amateur découvre l'amène à mieux voir et telle image qu'il perçoit suscite une interprétation et ce jeu anime la contemplation, tant qu'elle dure. C'est dire que l'art et le beau sont liés par l'activité créatrice d'une subjectivité qui prend conscience de sa liberté créatrice et s'affirme comme esprit (interprétation) et corps (image) réconciliés.



bonne nuit........

Grandiose , triche pas quoi , celui la va rester dans les archives
tu peux commencer a recopier la page 2

bah oui suffit de sortir un manuel de philo de terminale
il voulais qu'on lui redige sa redac' malin
le p'tit wil'

attends t'abuses jé pris la peine de de le lire en entier quand meme

bon je m'épuis a force de philosopher comme ça
faut vraiment que j'y aille

C'est très bien loozbé tu sais recopier un texte auquel tu captes rien parce que sinon tu n'aurais pas dit que la réponse à ma question etait non en copiant un texte qui justement ne tranche pas de manière decisive.
Quand tu parles de philo de lycée:
1)je suis flatté parce que j'avais même pas cette pretention
2)tu reponds quand même à un sujet de merde et vu le temps que ça t'a pris je me dis que tu devais vraiment te faire chier
3)tu dis que la question est un lieu commun parce que tu as cru comprendre dans ce que tu as cité qu'il y avait une reponse et que c'etait non (sic!)
4)Je ne pretendais même pas a recevoir la reponse mais ta reponse et finalement j'attends encore (j'aurais du ecrire reflexion personnelle...)
5)Si tu avais trouvé un texte de Kant tu aurais ecrit l'inverse
bref tu va paseer une bonne nuit en pensant m'avoir bien torché avec mon sujet de merde TELLEMENT evident pour toi mais si peu pour d'autres

allez une dernièrre pour la route
Or ce rapport, quand on qualifie un objet de beau, est uni à un sentiment de plaisir qui est en même temps déclaré valable pour tous par le jugement de goût; par suite, un agrément qui accompagnant la représentation ne peut pas plus en renfermer le motif déterminant que ne le peut la représentation de la perfection de l'objet ou le concept du bien. Donc ce qui constitue la satisfaction que, sans concept, nous jugeons universellement communicable, et par suite le motif déterminant du jugement de goût, c'est uniquement la finalité subjective dans la représentation d'un objet, sans aucune fin (ni objective, ni subjective), en conséquence la simple forme de la finalité de la représentation par laquelle un objet nous est donné.



Kant, Critique du jugement

ah bah merde alors juste quand je sortais kant, c dommage on a posté en meme temps

Je comprends plus rien à vos posts ...

Ah bah voila t'as fini de te contredire!