GlamourPunks a écrit :
Slash perso, j'ai quitté le concert au bout de trois morceaux. Poussif, Myles Kennedy trop chanteur pour être honnête, et le reste du groupe... Heu, quel groupe?
et ben !!! on on auras lu des conneries ici , je me demande si on est allé au meme concert.
Slash a joué une heure en premiere partie d'ac/dc , avec le son bridé c'etait juste monstrueux.
Lundi soir , outre le fait qu'axel ce soit encore permis de mettre une heure dans le culaux 20000 personnes qui etait la , il s'est permis le luxe de jouer avec le son le plus odieux qu'il soit. Pas de sub , baterie aussi puissante qu'une chasse d'eau , trois guitares dont cellle de bumblebiteincasable sur un mix et le pire du pire axel 10 foir trop fort , sa reverbe 10 fois trop forte et le delay qui passait dans sa reverbe 10 fois trop forte.
Je passerais sur la pyrotechnie en avance sur chaque peche ou encore sur le solo de fin (enfin la catastrophe de fin serait plus aproprié) de november rain , éxécuté par bumblebite , incapable de faire sonner une guitare.
Et pour vraiment enfoncer le clou , meme le parisien (oui le torche cul qui ne sert a rien) a été capable de se rendre compte de la supercherie:
leparisien a écrit :
Guns N’ Roses apprend la patience. Les fans ont dû attendre plus de dix ans un nouvel album. Le groupe a encore joué avec leurs nerfs, hier soir, àBercy, pour son retour. Prévus à 21 h 30, les chevelus californiens ne sont arrivés qu’une heure plus tard dans un fracas d’explosions et d’électricité sur « Chinese Democracy ». Le jeu en valait-il la chandelle ? Pas sûr au vu de la pâle prestation de ces rois déchus du hard rock. Les glorieuses années 1990 semblaient loin.
A l’époque, Guns N’ Roses vendait des disques par millions, son guitariste, Slash, parti depuis des lustres, forgeait l’admiration de tous les musiciens et le groupe faisait avaler tous ses caprices entre sexe, drogue et rock’n’roll. Pourtant, hier soir, son leader bedonnant Axl Rose tentait d’y croire encore. Certes, il y avait des moyens : de beaux écrans digitaux, des guitares partout, mais aussi une prestation qui traînait en longueur, un son en bouillie, tourbillonnant dans le chaudron plein de Bercy et un groupe de bonimenteurs rivalisant d’esbroufe sur des solos de m’as-tu-vu.
Son leader pouvait difficilement bluffer en star sur le retour, en braillard sans âme, même quand il s’attaquait au répertoire des autres comme « Live and Let Die » des Wings de Paul McCartney. La patience a sans doute des limites.
Grosse décéption , pétard mouillé , jai beaucoup apprécié chinese démocratie , le pire dans cette histoire c'est que fortus , asba , le nouveau bateur et meme axel jouent enorme , mais avec un son pareille........ce sera sans moi la prochaine fois.