Je suis en train de découvrir un peu mieux ce grand disparu de la guitare électrique, et je me prends claques sur claques ! Pour le résumer je dirais simplement : aucune concession, aucune limite.
J’avoue ce jusqu'au-boutisme me fait grave triper...
Bien sur il a repoussé les limites de son blues au-delà de ce que le Maître a pu faire, mais je trouve ses intrusions dans le rock progressif ("You're not alone") très réussies également.
Du coup comme dans mon groupe on joue "greens onions" je leur réserve une petite surprise
Dommage qu'on ne puisse trouver une bonne compil. de ses premiers enregistrements fin '50 début '60s. Il avait remplacé James Burton dans le groupe de Dale Hawkins.