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RFM le 23 Fév 2013, 08:49
La différence se fait d'abord sur la plage (ou réserve) de gain. La white dot est la plus 'soft', et finalement la gérable au potentiomètre ; plébiscitée la plupart du temps pour cette raison. La red dot est quelque part un brin plus grasse, roots, avec davantage de gain que la version white dot je me répète - peut-être un poil plus medium, mais ça dépend probablement des exemplaires... La parenté est évidemment audible.
Ce qui me plaît dans la white dot, c'est ce côté fuzz subtile (ça peut sembler contradictoire), maîtrisée... On arrive vraiment à la régler à la nuance près...
A l'inverse de l'Oxfuzz, par exemple qui reste celle qui explose le plus facilement à mes oreilles, moins gérable au potentiomètre, mais dont j'adore le côté hargneux...
Ca reste comme toujours une question de budget, de set et d'approche.
La red dot est clairement une très bonne fuzz, mais si on cherche une version un peu à part, plus subtile, mais riche de possibilités, la white dot est un excellent choix.
Je la trimballe toujours, souvent avec une Oxfuzz en complément, parfois autres chose. Son côté soft en décuple, je trouve, les possibilités d'utilisation. On peut toujours la coupler à autre chose pour - en touche finale - exploiter son grain, ajouter une coloration... Ou à l'inverse, la booster, obtenir un niveau de gain plus poussé...