janpol a écrit :
Le problème ne vient-il pas en partie du titre d'ingénieur du son : il me semble que que c'est un diplôme niveau master (bac + 5 ) , au cursus bien défini .
Combien de personnes sont dites 'ingénieur du son' sans en avoir la formation ?
Je me pose la question .
Pour l'histoire de mix pourri , ou de perçage du mix : sont doués , les ingés son pour orchestres classiques : ils gèrent des instruments aux timbres et puissances radicalement différents , dotés d'un énorme dynamique , et pourtant , on entend tout sacrément bien .
Le chef d'orchestre et le niveau des musiciens font une bonne part du job.
En classique , les concerts 'live' sont lla plupart du temps sans sono , et on entend tout , toujours avec une acuité et une dynamique monstrueuses .
Dans le rock , c'est malheureusement trop souvent une bouillie sonore compressée , à 4 ou 5 sur scène !
euh, c'est plus le travail de l'accousticien qui est mis en valeur dans le classique. et c'est des études autrement plus poussé que le rock n' roll métier d'ingé.
après pour l'ingé son bac +5, c'est de la conneires. les mec font de la théorie du signal et sont des pointures en math. mais en sortant de l'école il ont toucher quoi comme matos? il ont connu quoi comme mis en situation? pour avoir une formation ou on manipule vraiment du gros matos et qu'on rencontre des situation et des problèmes concret. que le prof est lui aussi ingé et pas matheu. ba y faut raquer, et ça coute chère. (et le diplome n'est pas forcément reconnu par l'état)