Citation:
Comme pour pas mal de problèmes, il n'y a pas UNE solution. D'un côté, il est nécessaire que les pouvoirs publics prennent des mesures incitatives (transports, énergie...) pour faire évoluer les mentalités et les habitudes. Rappelons aussi que l'industrie est responsable de la plus grande partie (et de loin) de la pollution. Ce sont d'abord eux qu'il faut toucher.
Après, les particuliers peuvent aussi à leur niveau changer leurs habitudes. Mais évidement, ils doivent comprendre qu'il n'y a pas de solution miracle qui va leur permettre de continuer à consommer autant sans se restreindre un minimum.
Le problème est que chacun attend que les autres bougent. C'est sûr que ça peut durer longtemps.
Ben c'est en partie vrai, et en partie faux...
Déjà, je crois qu'il faudrait parler de
pollutions pour être plus précis et peut être éviter de faire un palmarès des principaux secteurs pollueurs.
Les pollutions existent, quelles que soient leurs origines, et il faut les réduire au minimum à défaut de pouvoir les supprimer.
Dans ce que tu dis Cabask, on pourrait (mais je doute que ce soit le cas) dicerner le fait que seuls les industries auraient à faire des efforts, alors que les particuliers n'ont rien à se reprocher. Or, les pollutions domestiques sont légion, et portent, notamment, atteinte à la qualité de l'eau qui est mise à mal malgré les aménagements liés à l'épuration de celle-ci. En effet, la plupart des marques de produits ménagers utilisent de nouvelles recettes chimiques qui ne sont pas systématiquement testées en ce qui concerne leur nocivité à moyen ou long terme, tant à l'égard des utilisateurs, que de l'environnement.
Mais ce n'est qu'un exemple parmis tant d'autres possibles. Et je passe sur le cas de ceux qui prennent systématiquement leur voiture (par paresse) pour faire à peine 500 mètres...
A ce triste constat, outre les industries et les particuliers, il faut ajouter le cas de l'agriculture. Mais là, si on développe, le Forum de Guitariste.com va prendre des allures de Forum sur l'environnement
Bref, les choses sont complexes et les responsabilités multiples.
En revanche, je suis bien d'accord avec les propos de Lao qui ont le mérite de recadrer les choses.
Mais là, je voudrait justeposer une question :
Dans la mesure où l'on a constitué une associatn qui se veut apolitique, comment peut-on qualifier cette forme d'écologie ?
Parce qu'en fait, nous sommes tous un peu scientifique dans le tas, et nous touchons quand même à "la chose publique" sans toutefois vouloir prendre de position partisanne.