Actualité politique / Règles en page 1

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Biosmog
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fifdefif a écrit :
Biosmog a écrit :
Biosmog a écrit :
Quand j'expliquais que Rajoy faisait tout faux en mettant des bâtons dans les roues de la Catalogne depuis 10 ans...



fifdefif a écrit :
Biosmog a écrit :
70/135

Quand depuis 10 ans le gouvernement central fait tout pour torpiller ton mouvement, quand tu fais campagne en prison ou en exil, quand l'ensemble du gouvernement, des medias nationaux, internationaux répètent que tu coures à la banqueroute, et quand l'opposant direct fait deux fois moins de voix que toi ça s'appelle se prendre une baffe.


que tu es de mauvaise foi!!!! c'est terrible
Les indépendantistes finissent avec 47,6% des voix et grâce à un système de pondération un peu particulier certaines voix comptent moins que d'autre. En clair ,les indépendantistes au pouvoir depuis longtemps ont arrangé une tambouille électorale leur assurant une majorité même en cas d'un nombre de voix insuffisant.


Bon d'accord , t'as raison, c'est moi qui est de mauvaise foi: les indépendantistes se sont pris une raclée alors qu'il avaient tout en main pour faire un bon résultat. C'est la politique de Mariano Rajoy vis-à-vis de la Catalogne qui a gagné. Belle analyse politique


Tu as raison quand 52,6% des gens vont se retrouver gouverné pas les 47 %qui ont perdu c'est de la democratie .Après si tu es sensible au populisme régionaliste quand il est marqué à gauche et ce par simple posture idéologique c'est ton, droit .Moi ce sont des valeurs d'où qu'elles viennent ,que je ne cautionne pas.Enfin ,ils échappent à un audit sur la corruption au sein du parlement catalan depuis 30 ans demandé par leur principal opposant ,Cuidadanos.
Ensuite ,il faut que tu saches que s'opposer à cet indépendantisme ne fait de moi ni de ceux qui ont voté contre de dangereux franquiste ou des pros Rajoy ,bien au contraire .


alors relis ma première intervention, que j'ai cité dans ce même message: je parle de Rajoy!

Et quand tu n'es pas à côté du sujet, tu me parles de ma posture idéologique? c'est marrant.
Vous battez pas, je vous aime tous
fifdefif
Bios ,c'est toi qui est à coté .
Les indépendantistes Catalans ont pratiquement obtenu tout ce qu'il voulait et ce depuis 30 ans a à part un ou deux impôts que les Basques ,beaucoup plus fin qu'eux en fait ,ont obtenu.
Alors ,quand ton discours tourne en rond et que tu n'as pas plus grand chose à proposer ,il reste la surenchère .Alors la bonne idée ,c'était de profiter ,pour les tenants de l'indépendance ,d'un premier ministre espagnol discrédité et englué dans les affaires de corruption de son parti (pire que les leurs ) . Que Rajoy soit mauvais ,c'est un fait .Qu'il est mis des bâtons dans les roues de la Catalogne depuis 10 ans ,c'est faux .C'est pas le grand amour mais la région bénéficie d'une autonomie dont beaucoup de régions en Europe rêve depuis un moment .
Mais comme je disais précédemment ,il fallait aux indépendantiste trouver un moyen de casser la routine et c'est parti sur la résurrection du retour du Franquisme et de fantasmer sur le grand soir de la révolution pacifique contre l'oppresseur espagnol
Peut être que le fait que ma famille paternelle vient de Barcelone et que je bosse avec l' Espagne fait que ça me touche plus que ça ne le devrait mais les petits fachos à Barcelone ne sont pas ceux que l'on croient
Lao
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    Lao
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D'un autre côté c'est symptomatique de pleins de sujets, tellement c'est dans l'air du temps.
“La peur est le chemin vers le côté obscur. La peur mène à la colère. La colère mène à la haine. La haine mène à la souffrance.” Yoda.
Biosmog
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fifdefif a écrit :
Bios ,c'est toi qui est à coté .
Les indépendantistes Catalans ont pratiquement obtenu tout ce qu'il voulait et ce depuis 30 ans a à part un ou deux impôts que les Basques ,beaucoup plus fin qu'eux en fait ,ont obtenu.

...

Que Rajoy soit mauvais ,c'est un fait .Qu'il est mis des bâtons dans les roues de la Catalogne depuis 10 ans ,c'est faux


Désolé, mais il faut que l'un de nous se renseigne un peu. C'est peut-être toi, c'est peut-être moi, c'est peut-être un peu des deux

http://www.lefigaro.fr/interna(...)d.php
Vous battez pas, je vous aime tous
jules_albert




« Rien ne va plus », disent les mauvais joueurs. « Le monde va mal », opine la sagesse populaire. Nous disons plutôt que le monde se fragmente. On nous avait promis un nouvel ordre mondial. C’est le contraire qui se produit. On annonçait la généralisation planétaire de la démocratie libérale. Ce qui se généralise, ce sont plutôt les « insurrections électorales » contre elle et son hypocrisie, comme s’en plaignent amèrement les libéraux. Quartier suivant quartier, la fragmentation du monde se poursuit, sans ménagement, sans interruption. Et cela n’est pas qu’affaire de géopolitique. C’est en tous domaines que le monde se fragmente, en tous domaines que l’unité est devenue problématique. Il n’y a pas plus d’unité dans la « société », de nos jours, que dans la « science ». Le salariat explose en toutes sortes de niches, d’exceptions, de conditions dérogatoires. L’idée de « précariat » occulte opportunément qu’il n’y a tout simplement plus d’expérience commune du travail, même précaire. Si bien qu’il ne peut plus y avoir non plus d’expérience commune de son arrêt, et que le vieux mythe de la grève générale est à ranger au rayon des accessoires inutiles. La médecine occidentale en est réduite à bricoler avec des techniques qui font voler en éclats son unité doctrinale, telles que l’acupuncture, l’hypnose ou le magnétisme. Par-delà les usuels tripatouillages parlementaires, il n’y a plus, politiquement, de majorité pour rien. Le commentaire journalistique le plus avisé, durant le conflit parti de la loi Travail au printemps 2016, constatait que deux minorités, une minorité gouvernementale et une minorité manifestante, s’affrontaient devant le parterre d’une population spectatrice. Notre Moi lui-même se présente comme un puzzle de plus en plus complexe, de moins en moins cohérent – si bien que pour que ça tienne, en plus des séances de psy et des comprimés, il faut maintenant des algorithmes. Ce n’est que par antiphrase que l’on appelle « mur » le flux tendu d’images, d’informations, de commentaires, pour lequel Facebook essaye de donner forme au Moi. L’expérience contemporaine de la vie dans un monde fait de circulation, de télécommunications, de réseaux, d’un chaos d’informations en temps réel et d’images tentant de capter notre attention est fondamentalement discontinue. A une tout autre échelle, les intérêts particuliers des notables ont de plus en plus de mal à se faire passer pour « l’intérêt général ». Il n’y a qu’à voir comment les États peinent à mettre en œuvre leurs grands projets d’infrastructures, du val de Suse à Standing Rock, pour s’aviser que ça ne marche plus. Qu’il faille désormais faire intervenir l’armée et ses corps d’élite sur le territoire national pour le moindre chantier d’importance montre assez qu’ils sont désormais perçus pour les opérations mafieuses qu’ils sont aussi.

En toutes choses, l'hégémonie est morte et les singularités deviennent sauvages : elles portent en elles-mêmes leur propre sens, qu'elles n'attendent plus d'un ordre général. Le petit point de vue de surplomb qui permettait à tout ce qui avait un peu d'autorité de ventriloquer pour les autres, de juger, de classer, de hiérarchiser, de moraliser, d'intimer à chacun ce qu'il doit faire et comment il doit être, est devenu inaudible. Tous les "il faut" sont au sol. Le militant qui sait ce qu'il faut faire, le professeur qui sait ce qu'il faut penser, le politicien qui va vous dire ce qu'il faut pour le pays, parlent dans le désert. Rien ne peut plus en remontrer à l'expérience singulière là où elle existe.

L'époque opère des raccourcis historiques saisissants. La démocratie est enterrée là même où elle était née deux mille cinq cents ans plus tôt avec la façon dont Alexis Tsipras, à peine élu, n'a eu de cesse de négocier sa reddition.

Mais le plus frappant, c'est que l'épicentre géopolitique de la fragmentation du monde soit précisément le lieu d'où est partie son unification sous le nom de "civilisation" il y a cinq mille ans de cela : la Mésopotamie. Si un certain chaos géopolitique semble gagner le monde, c'est depuis l'Irak et la Syrie, c'est-à-dire depuis l'endroit exact où a commencé sa mise en ordre générale. L'écriture, la comptabilité, l'Histoire, la justice royale, le parlement, l'agriculture raisonnée, la science, la mesure, la religion politique, les intrigues de palais et le pouvoir pastoral - toute cette façon de prétendre gouverner "pour le bien des sujets", dans le souci du troupeau et de son bien-être -, tout ce à quoi se ramène ce que nous appelons encore aujourd'hui la "civilisation", tout cela était déjà, trois mille ans avant Jésus-Christ, la marque propre des royaumes d'Akkad et Sumer.

Bien sûr qu'il y aura des tentatives de replâtrer un nouvel État confessionnel irakien. Bien sûr que les intérêts internationaux aboutiront à des opérations farfelues de state building en Syrie. Mais en Syrie comme en Irak, l'humanité étatisée est morte. L'intensité des conflits est montée trop haut pour qu'une réconciliation honnête soit encore possible. La guerre contre-insurrectionnelle qu'a livrée le régime de Bachar-Al-Assad à sa population, avec les appuis que l'on sait, a atteint de telles extrémités qu'aucune négociation n'aboutira plus jamais à quelque chose comme un "nouvel État syrien" digne de ce nom. Et aucune tentative de peopleshaping - la mise en pratique sanglante du poème ironique de Brecht suite à l'insurrection ouvrière de 1953 contre le nouveau régime soviétique en RDA : "Le peuple a par sa faute / Perdu la confiance du gouvernement / Et ce n'est qu'en redoublant d'efforts / Qu'il peut la regagner / Ne serait-il pas / Plus simple alors pour le gouvernement / De dissoudre le peuple / Et d'en élire un nouveau ?" - n'y fera rien : les ombres des morts ne se laissent pas mater, elles, à coups de barils de TNT.

Quiconque s'est penché sur ce que furent les États européens du temps de leur "splendeur", ne peut voir dans ce qui survit de nos jours sous le nom d' "État" que des faillites. Au regard des puissances transnationales, les États ne se maintiennent plus qu'à l'état d'hologrammes. Que ce soit sous prétexte de "réforme" ou par accès de "modernisation", les États capitalistes contemporains se livrent à un exercice d'auto-démantèlement méthodique. Sans parler des "tentations indépendantistes" qui se multiplient à travers l'Europe. Il n'est pas dur de discerner derrière les tentatives de restauration autoritaire dans tant de pays du monde une forme de guerre civile qui n'aura plus de cesse. Que ce soit au nom de la guerre contre "le terrorisme", "la drogue" ou "la pauvreté", partout les coutures des États cèdent. Les façades demeurent, mais elles ne servent plus qu'à masquer un tas de décombres. Le désordre mondial excède désormais toute capacité de remise en ordre.

Nous sommes les contemporains d'un prodigieux retournement du processus de civilisation en processus de fragmentation. Plus la civilisation aspire à son accomplissement universel, désormais, plus elle implose à sa base. Plus ce monde prétend à l'unification, plus il se fragmente.
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
jules_albert


sur le conflit catalan, qui est téléguidé par l'élite locale :

La question qu'il faudrait se poser n'est pas tant celle qui consiste à se demander pourquoi un secteur local de la classe dominante décide de résoudre ses différends avec l'État au moyen de mobilisations dans la rue, mais plutôt pourquoi une proportion considérable de la population, avec des intérêts opposés à ceux de cette classe dominante, en particulier les jeunes, joue le rôle de force de choc de la caste qui a fait de la Catalogne son patrimoine, aussi classiste, catholique, corrompue et autoritaire que le reste de l'État espagnol.

Le jeu du nationalisme catalan est facile à comprendre, et ses dirigeants n'ont jamais caché leurs intentions. Le mouvement séparatiste actuel est une opération risquée de classe. La consolidation d'une caste locale associée au développement économique exigeait un saut qualitatif en matière d'autonomie. Le refus de la ploutocratie centrale de "dialoguer", c'est-à-dire, de transférer des compétences, principalement financières, bloquait l'ascension de cette caste et diminuait dangereusement son influence et sa capacité politique envers des industriels et des banquiers disposés à appuyer le séparatisme en échange de bénéfices succulents. La décision de l'élite catalane d'aller à l'affrontement ("choc des trains") marquait la rupture radicale de la politique traditionnelle des pactes du catalanisme politique. Même si ce n'était pas sérieux, même si l'intention n'était pas de déclarer unilatéralement l'indépendance, cette caste avait besoin d'un appareillage pour mobiliser, inoculer une mystique patriotarde afin de mettre en ébullition, de façon contrôlée, le bouillon identitaire.

La démagogie séparatiste, armée du marketing identitaire, a su atteindre le citoyennisme démocratique avec qui il a pu mobiliser dans les rues ces masses trop domestiquées pour le faire de façon autonome. Avec beaucoup d'habileté, cette démagagie a su toucher la fibre obscure des émotions réprimées et des sentiments grégaires qui nichent chez les serfs de la consommation ; elle a su touiller à son profit la lie de l'aliénation. L'opération a été réussie car désormais la caste dirigeante de Madrid est davantage disposée à modifier la constitution du postfranquisme afin de favoriser la caste catalaniste, même s'il faudra en chemin sacrifier quelques personnages en chemin, peut-être même Puigdemont. De puissants représentants du grand capital (par exemple, Felipe González) semblent pointer dans cette direction.

Le nationalisme est dirigé par des escrocs, mais il n'est pas une escroquerie en soi. C'est le reflet sentimental d'une situation frustrante pour une majorité de subjectivités pulvérisées. Il n'agit pas de façon rationnelle, car il n'est pas le fruit de la raison ; c'est plus une psychose qu'un désir de libération. L'explication de l'éclosion émotionnelle patriotique dans la société catalane est à chercher dans la psychologie des masses, c'est pourquoi Reich, Canetti ou même Nietzsche seraient plus utiles que Marx, Reclus ou Pannekoek. La conviction et l'enthousiasme des masses nationalistes ne provient pas de froids raisonnements logiques ou de rigoureuses analyses socio-historiques. Elles ont plus à voir avec les décharges émotionnelles sans risques, la sensation de pouvoir que procurent les attroupements de masse, le fétichisme du drapeau et autres symboles, la catalanité virtuelle des réseaux sociaux, etc., qui sont les caractéristiques des masses déracinées, atomisées et déclassées, et donc, sans valeurs, objectifs et idéaux propres, tout à fait disposées à prendre des vessies pour des lanternes. La vie quotidienne colonisée par le pouvoir de la marchandise et l'État est une vie pleines de conflits latents et intériorisés, dont l'excès d'énergie les fait surgir sous la forme de névroses individuelles ou collectives. Tous les nationalismes offrent un excellent mécanisme de canalisation de ces pulsions qui, si elles devenaient conscientes, seraient un dangereux facteur de révolte.

Le nationalisme divise la société en deux camps paranoïaques opposés artificiellement à travers leurs obsessions. Les intérêts matériels, moraux, culturels, etc., ne comptent pas. Rien à voir avec la justice, la liberté, l'égalité et l'émancipation universelles. Le peuple catalan est une chose aussi abstraite que le peuple espagnol, une entité qui sert d'alibi à une souveraineté de caste avec sa police et sa répression. Un peuple se définit uniquement contre tout pouvoir qui n'émane pas de lui, ou qui se sépare de lui. Par conséquent, un peuple doté d'un État n'est pas un peuple. L'histoire était faite par des gens communs à travers des assemblées et des organismes nés de ces assemblées. Mais aujourd'hui, l'histoire appartient à ceux qui la manipulent le mieux. Ces gens se contentent de fournir un cadre populaire à une mauvaise pièce de théâtre où se ventile une très banale répartition du pouvoir.

Miguel Amoros, septembre 2017

https://noticiasdeabajo.wordpr(...)oces/
Sans valeur marchande : https://debord-encore.blogspot(...).html

La peste citoyenne. La classe moyenne et ses angoisses : http://parolesdesjours.free.fr(...)e.pdf
Invité
C'est pas mal l'idée d'un monde en fragmentation ... et puis ça donne un écho particulier à mes lectures actuelles ("Fondation" d'Asimov: c'est l'empire qui se fragmente) ... et ça colle bien avec l'absence d'unité du "moi" grâce à laquelle les choses restent vivables (Franck Herbert disait que pour survivre dans un monde fou, il fallait l'être soi même) ...
Je trouve que c'est une approche ... optimiste (hé oui ... ....) ... de ce même optimisme qui saisit le joueur lorsqu'il espère qu'en battant les cartes le vent va tourner en sa faveur ...
Et puis ça a un côté apocalyptique assez poétique

"la nuit étoilée est la table de jeu sur laquelle l'être se joue... inutile de juger la situation mauvaise: elle m'énerve et m'excite .... ... ... Il est "Naturel" de délirer" Georges Bataille (citation pas ultra fiable)

Punk's not dead (ça fait plaisir un peu d'air frais dans l'étouffoir moraliste ambiant)
Kandide
quantat a écrit :
C'est pas mal l'idée d'un monde en fragmentation ... et puis ça donne un écho particulier à mes lectures actuelles ("Fondation" d'Asimov: c'est l'empire qui se fragmente) ... et ça colle bien avec l'absence d'unité du "moi" grâce à laquelle les choses restent vivables (Franck Herbert disait que pour survivre dans un monde fou, il fallait l'être soi même) ...
Je trouve que c'est une approche ... optimiste (hé oui ... ....) ... de ce même optimisme qui saisit le joueur lorsqu'il espère qu'en battant les cartes le vent va tourner en sa faveur ...
Et puis ça a un côté apocalyptique assez poétique

"la nuit étoilée est la table de jeu sur laquelle l'être se joue... inutile de juger la situation mauvaise: elle m'énerve et m'excite .... ... ... Il est "Naturel" de délirer" Georges Bataille (citation pas ultra fiable)

Punk's not dead (ça fait plaisir un peu d'air frais dans l'étouffoir moraliste ambiant)


Anarchiste !
Skelter
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Blow Up a écrit :


Énorme...
En plus ils préparent un contrôle accru des chômeurs
"Sans une faciale de temps en temps, peut-on réellement parler d'amour?", Ben.oît

#Free the nipple!
#FreeMissDaisy
PierredesElfes
http://www.lemonde.fr/emploi/r(...).html

L'année 2018 s'annonce bien ......Les gens de gauche , les retraités , les jeunes qui ont voter pour Macron et sa belle gueule vont se bouffer les doigts !!!
La vie s'écoule comme l'eau d' un ruisseau, chaque mètre parcouru est à jamais perdu ...
Invité
Intéressant de voir que les contrôles existants ont donné lieu à 14% de sanctions. C'est raccord avec ma théorie selon il y a entre 10 et 15% d'employés défaillants et autres branleurs dans chaque corps de métier.

Et concrètement ça dégommé l'idée "chômeurs = profiteurs"

En ce moment sur backstage...