Blow Up a écrit :
[...]
C'est puantissisme comme modèle social et économique.
Je sais que je prends le risque d'avoir comme surnom «Coco» (comme le perroquet, pas comme celui qui a sa carte au parti) mais...
C'est le modèle social et économique tant désiré par l'Europe et ses supporters (qui crient «Encore !» dans les tribunes)
Vous en doutez ? Pourtant,
ils ne se cachent pas
C'est facile à lire, c'est plein du joli language des technocrates Européens - ceux payés très cher pour vous dire que vous devez être moins payé.
Une version avec
mise en valeur de certains éléments pour les plus pressés.
Je sais que certains adorent réduire les «Eurosceptiques» à des défenseurs de Kebab, comme vu ici dernièrement, pour désarmer toutes critiques sérieuses. Que d'autres pensent que la France (avec l’Allemagne) dirige l’Europe (Ah ah ah , la France ne peut même pas interdire du papier tue mouche(*) sur son territoire, alors de là à diriger l’Europe...)
Kandide a écrit :
Oui, je suis très inquiet également.
Vous pouvez l'être. Depuis plus de 20 ans. Il serait bon de juger les résultats d'une construction Européenne qui détruit plus qu'elle ne construit. Où sont les emplois, la richesse, le bonheur des promesses de cette construction. C'est le règne du tous contre tous pour le bénéfice de quelques-uns.
Et
papa Schulz commence à s'impatienter.
En 2018 la France va payer plus de 20 milliards pour financer le machin qui ordonne à nos politiques de faire disparaître notre culture, nos traditions, nos services publics , notre protection sociale, nos régions, nos départements, notre langue, notre santé....
Mais bon, les «Eurosceptiques» défendent les Kebabs...
(*) La non affaire du Glyphosate.
J'en profite, pardon si quelqu'un a déjà posté ce
lien je sais que certains suivent ce site.
ps : Kandide. Je crois que c'est la première fois que je suis derrière vous sur une entrée du forum. J'en profite pour vous dire combien j'apprécie vos remarques et contributions. Pour faire simple, certains trouveront cela niais, peu me chaut, vous êtes une belle personne et je tenais à vous le dire.
«Baisse d'un ton, j'en ai marre de t'avoir sur le dos»