casseoreille a écrit :
Lorsque j'évoque les fumées de ces nouvelles chaufferies soi-disant non polluantes et que je les compare à celles des centrales nucléaires, c'est parce que ces fumées sont blanches et importantes.
Je suis toujours surpris de constater que personne ne soulève le problème de la pollution des avions. Leur nombre a doublé ou triplé en quelques décennies, leur consommation est importante, et leur pollution nous tombe dessus.
Pendant des années, je recueillais l'eau de pluie sur mon balcon pour mon aquarium car l'eau du robinet est trop calcaire. J'avais des poissons et des plantes impeccables. Puis, j'ai commencé à avoir des plantes qui périssaient. J'ai donc filtré mon eau avec un filtre à café pour constater que ce filtre était rempli d'une suie noire. Le phénomène s'est aggravé considérablement, et j'ai du renoncer à l'aquariophilie.
Je ne pense pas que ces suies proviennent des chaufferies car elles sont présentes aussi abondantes l'été. Je ne pense pas non plus qu'elles proviennent de mousses des toits ou des arbres car ces poussières ne causeraient pas la mort des poissons.
Contrairement aux années antérieures, les pluies salissent maintenant les balcons et les voitures
Je m'attends, que l'un de ces prochains jours, nos scientifiques nous apprennent que les pollutions aériennes sont très importantes et particulièrement nocives à la santé, puisque volatiles et donc constamment respirées par les humains et tous les êtres vivants.
Le coupable ne serait-il pas plutôt le voisinage d'une route, et la proportion écrasante de véhicules diesel que la France a connue pendant presque 30 ans, heureusement en régression forte et rapide ?
Les véhicules essence et les avions à réaction (essence aviation à base de kérosène) rejettent très peu de suies, contrairement au diesel.
J'en sais quelque chose, j'habite pile à côté d'une voie très fortement fréquentée par VP, poids lourds et véhicules agricoles, à forte proportion de diesel, et les dépôts sur les fenêtres, murs, etc. sont importants, à tel point que je n'ouvre jamais les fenêtres côté rue.