lo-fi reup a écrit :
Zeman a écrit :
Fandango a écrit :
Aucune solutions à elle seule permet de sortir du nucléaire....
Je considère que ce n'est pas une fin en soi. Le charbon tue des dizaines de milliers de personnes par an, rien qu'en Europe. Le procès fait au nucléaire est un mauvais procès.
Le nucléaire est, de loin, l'énergie la moins carbonée, donc si on accepte que le réchauffement climatique est la menace la plus grave, et qu'il est provoqué par le CO2, sortir du nucléaire est une aberration.
je suis d'accord pour dire que la menace numero 1 est le CO2 (meme si les particules fines, les perturbateurs endocriniens, les pesticides dans l'alimentation... etc...etc... sont des sujets qu'il faudra traiter dans un second temps)
ok mais on parle un peu dans le vide là
on a un chiffrage du "cout CO2" des energies renouvelables? (eolien, solaire->cout global j'entends : instal, exploitation, entretien, demantelement)
et la même chose pour le nucléaire? (exploitation, demantelement, entretien...)
le debat est interessant, j 'essaye de me positionner (en tant que scientifique) et de comprendre quelle est la moins pire solution
ce sont des questions interessantes que j'invite a poursuivre sur le topic developpement durable (ici c 'est compliqué d avoir un debat réel, ca tourne vite au reglements de compte entre membres qui se connaissent par coeur et s'opposeront systématiquement par principe)
Cette démarche serait intéressante, on manque malheureusement de rex sur le démantèlement nucléaire. C'est aussi le problème de cette filière politisée. On veut toujours faire mieux et moins cher pour le projet d'après (y'a qu'à voir FA3 qu'on a voulu faire en un rien de temps). On ne prends pas en compte les chantiers actuels pour la suite.
Le problème de la notation des énergies sur leur impact c'est leur intégration dans un marché de l'énergie globale et la géographie de chaque pays.
Il faudrait aussi ramener le problème à la consommation (peut-on produire suffisamment dans la meilleure filière ?), aux fluctuations de consommations (plus facile de démarrer une petite installation que de réguler avec des centrales nucléaires), et surtout à la politique actuelle du marché qui vend de la valeur marchande et pas de l'énergie.