Actualité politique / Règles en page 1

Rappel du dernier message de la page précédente :
fifdefif
mkits33 a écrit :
fifdefif a écrit :
Leur boite sont aux anges, ils ont multiplié leur frais d'essence par 2 mais ils paient pas la TVS


Ah bon ?


selon les regions de France : elec ou hybride tu es exempté de TVS
mkits33
fifdefif a écrit :
mkits33 a écrit :
fifdefif a écrit :
Leur boite sont aux anges, ils ont multiplié leur frais d'essence par 2 mais ils paient pas la TVS


Ah bon ?


selon les regions de France : elec ou hybride tu es exempté de TVS


ça ne dépend pas des régions (tu dois confondre avec la CFE) :

Citation:
Exonérations de TVS pour les voitures hybrides en 2021

Mis à jour chaque année par le gouvernement, le mécanisme de la TVS prévoit une exonération pour les voitures hybrides. En pratique, celle-ci dépend du niveau d’émissions de CO2. Elle est totale pour les modèles dont les émissions sont inférieures à 60 g/ CO2km – typiquement les hybrides rechargeables. Pour les véhicules dont les émissions de CO2 sont situées entre 60 et 100 g/km, l’exonération n’est que « partielle » et se limite à seulement 12 trimestres.
fifdefif
mkits33 a écrit :
fifdefif a écrit :
mkits33 a écrit :
fifdefif a écrit :
Leur boite sont aux anges, ils ont multiplié leur frais d'essence par 2 mais ils paient pas la TVS


Ah bon ?


selon les regions de France : elec ou hybride tu es exempté de TVS


ça ne dépend pas des régions (tu dois confondre avec la CFE) :

Citation:
Exonérations de TVS pour les voitures hybrides en 2021

Mis à jour chaque année par le gouvernement, le mécanisme de la TVS prévoit une exonération pour les voitures hybrides. En pratique, celle-ci dépend du niveau d’émissions de CO2. Elle est totale pour les modèles dont les émissions sont inférieures à 60 g/ CO2km – typiquement les hybrides rechargeables. Pour les véhicules dont les émissions de CO2 sont situées entre 60 et 100 g/km, l’exonération n’est que « partielle » et se limite à seulement 12 trimestres.


C'est ce que je dis
mkits33
fifdefif a écrit :

selon les regions de France : elec ou hybride tu es exempté de TVS

C'est ce que je dis


Ben non. Hybrid non rechargeable, tu n'est pas exempté de TVS, quelle que soit ta région.

Mais ce n'est pas grave.
fifdefif
On ne se comprends pas
tu viens de citer cette phrase
Elle est totale pour les modèles dont les émissions sont inférieures à 60 g/ CO2km – typiquement les hybrides rechargeables.

Donc j'ai bon ou il y a une ruse que je ne vois pas
mkits33
Une hybrid n'est pas forcément rechargeable. Par exemple une Toyota Yaris... Et dans ce cas là, tu payes une TVS (cette année 203 € pour ce modèle justement).
fifdefif
Après, on peut y passer la nuit dessus mais je parlais bien évidemment que des boites qui avaient acheté des voitures qui tombaient sur le coup d'une exoneration de TVS .Je n'en faisait pas une généralité

remier avantage fiscal pour les véhicules de société hybrides : la réduction partielle ou totale de la taxe sur les véhicules de société (TVS). Selon le niveau d'émissions de CO2, le véhicule hybride peut se voir exonéré de TVS. Pour profiter d'une exonération totale, il faut que les modèles de voitures hybrides n'émettent pas plus de 50 g de CO2/km, selon la norme WLTP. Cette exonération concerne généralement les hybrides rechargeables, de façon définitive.



Les autres modèles de voitures hybrides ont des émissions de CO2 en général comprises entre 60 et 100 g/km, voire 120 g/km. S’ils répondent à la norme WLTP et émettent entre 51 g et 121 g de CO2 par km parcouru, ils seront exonérés de TVS de façon temporaire, sur 3 ans (soit 12 trimestres). Les véhicules hybrides concernés sont :

essence & électrique ;
essence & gaz naturel (GNV) ;
essence & GPL ;
essence & Superéthanol (E85) ;
électrique & gaz naturel (GNV) ;
électrique & Superéthanol (E85) ;
électrique & GPL.
mkits33
C'est pour ça que j'ai dit "ce n'est pas grave".

L'avantage fiscal n'est pas l'unique raison pour l'achat de ces véhicules. Il y a aussi un certain confort de conduite... Mais après, les goûts et les couleurs, c'est propre à chacun.

Je parle pour mon cas.
fifdefif
mkits33 a écrit :
C'est pour ça que j'ai dit "ce n'est pas grave".

L'avantage fiscal n'est pas l'unique raison pour l'achat de ces véhicules. Il y a aussi un certain confort de conduite... Mais après, les goûts et les couleurs, c'est propre à chacun.

Je parle pour mon cas.


On ne se comprends pas;Je n'ai pas parlé agreements ni de confort je dis seulement que beaucoup d'entreprises font le choix d'aller sur l'Hybride-rechargeable pour l'exoneration de TVS
Or ces véhicules sont peu ou pas adapté a des commerciaux dont 90% des trajets seront sur des grands axes : lourd et donc fortement consommateur en essence;, ils ne sont sont que peu souvent rechargé et du coup se trouvent être beaucoup plus polluant que leur equivalent diesel.
Voila
Biosmog
  • Vintage Méga utilisateur
Une petite étude locale, très critique sur les véhicules hybrides (bon, on s'en doutait)
http://www.impact-living.ch/wp(...)2.pdf

Citation:
Malheureusement, les résultats quantitatifs (mesures de la consommation réelle de carburant) montrent que les véhicules hybrides plug-in sont très éloignés de leurs promesses et ne présentent que de très légers avantages (voir aucun) par rapport à une voiture thermique conventionnelle.
Vous battez pas, je vous aime tous
Blow Up
Les breaks hybrides défiscalisés, les zones d'activités périurbaines accessibles après 50 ronds-points, les repas chez Flunch, les nuits au Formule 1. C'est tout un poème une vie de VRP.

Denis13
  • Vintage Méga utilisateur
Blow Up a écrit :
les repas chez Flunch, les nuits au Formule 1

Si ils bouffent chez flunch et crèchent au F1, c'est plutôt en Lada Niva qu'ils roulent tes VRP
JayBea
  • Custom Supra utilisateur
    ModérateurModérateur
Pour compléter sur les véhicules hybrides, à partir de 57min :

Mr Park
Un copain vient de commettre ceci dans un journal belge. On pourra dire que c'est orienté, mais ça me paraît pertinent au niveau du contenu politique (désolé pour la longueur, mais je ne sais pas si de France vous avez accès à l'article):

Citation:
Pour ceux qui nourrissaient encore des illusions, l’école gratuite, c’est terminé. Désormais, les familles sont invitées à augmenter leur budget scolaire de 20 euros par mois et par enfant pour s’acquitter des autotests de prévention contre le covid. Le politique souhaite-t-il rejeter sur les familles la surveillance de la pandémie ?

Dans un pays qui compte un enfant sur quatre vivant sous le seuil de pauvreté, ce coût supplémentaire approfondit les inégalités. Les réponses politiques ne se souciant pas des inégalités sont intenables pour de nombreuses familles. Et puisque de telles mesures ne peuvent être appliquées, elles sont souvent défaites dès qu’elles sont émises. Depuis quarante ans, le personnel politique en Belgique et dans de nombreux pays de l’OCDE se soucie fort peu de la praticabilité de ses lubies managériales empruntées souvent sans discernement au monde de l’entreprise. La fantaisie centrale qui fait partout l’unanimité est l’austérité, l’une des politiques les plus efficaces pour creuser les inégalités sans répondre aux enjeux sociétaux.

Deux ans après le début de la pandémie (1), il y a relativement peu de mesures structurelles qui ont été mises en place. En juin 2020, des spécialistes de la dynamique de transmission virale prédisaient des mesures de distanciation sociale épisodiques jusqu’en 2022 au moins (2). Et ils concluaient que pour réduire ces épisodes et assurer les soins critiques, il y avait lieu d’augmenter la capacité d’accueil des hôpitaux et d’effectuer des tests viraux à grande échelle. Partout le personnel politique a plutôt visé l’inverse en réduisant les dépenses, et se repose désormais sur les familles pour effectuer les tests coûteux. On ne badine pas avec le dogme de l’austérité.

Destruction des services publics
L’austérité a une histoire. Depuis quarante ans, les partis traditionnels se succèdent pour mettre en œuvre la destruction des services publics et alléger les contraintes fiscales sur les plus riches. L’évasion fiscale, qui est considérée légale bien qu’elle s’appuie sur les paradis fiscaux, s’élève à 11.000 milliards de dollars dans le monde. La fraude fiscale, illégale et opaque, s’y ajoute et s’élèverait, au bas mot, pour la seule Belgique, à 7 milliards d’euros par an (3). Pendant ce temps, les politiques libérales se sont acharnées à définancer l’école, l’hôpital, la poste et le rail, tout en privatisant ce qui pouvait l’être et en bloquant les salaires et les pensions. Ces mesures rendent la vie difficile à un nombre sans cesse croissant de familles, et elles hypothèquent de plus en plus les possibilités d’adaptation de nos sociétés aux crises économique, climatique, écologique ou sanitaire. L’impuissance, ça se construit jour après jour.

Mises en garde permanentes
Pour justifier son impéritie, le personnel politique assume cette impuissance délibérée et met en garde la plèbe. « Il n’y a plus d’argent dans les caisses ». « C’est de l’utopie ». « Ne cédons pas aux sirènes du populisme ». « Ce sont les traités ». Dans d’autres cas, l’impuissance peut être masquée à grand renfort d’euphémismes ou d’oxymores, comme lorsqu’on présente une diminution du niveau des pensions de retraite sous le seuil de pauvreté comme étant la meilleure option pour « sauver les retraites ».

Changer de paradigme
Le néolibéralisme s’appuie sur les théories discutables (et parfois, dogmatiques) des Chicago Boys de Milton Friedman, dont on connaît aujourd’hui les conséquences désastreuses. En revanche, le discours idéologique qui l’accompagne et qui interdit toute pensée récusant la marchandisation du monde est encore servi partout, il tient en un acronyme : TINA (pour « there is no alternative ») (4). Nous avons pourtant besoin d’un changement de paradigme car nous devons affronter non pas une crise mais un nexus de crises. La crise des inégalités, celle du climat et celle de l’écologie se conjuguent, en effet, de manière à se renforcer les unes les autres, exposant l’humanité à des impacts cumulatifs.

Pour faire face à cette situation, nous ne pouvons plus nous contenter de l’austérité et des postures d’impuissance. La priorité devrait, au contraire, viser à intensifier la lutte contre la criminalité financière pour refinancer les services publics et la solidarité. La pandémie qui nous assiège et les crises à venir nous obligent à effectuer ce virage au plus tôt.
PierredesElfes
Ou comment faire le tri .....

Après le tri des citoyens voila celui des étudiants !!!
La vie s'écoule comme l'eau d' un ruisseau, chaque mètre parcouru est à jamais perdu ...

En ce moment sur backstage...