Actualité politique / Règles en page 1

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Biosmog
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olivier R a écrit :

Parents corrects = enfants corrects dans 90-95% des cas !


Mon dieu ce que c'est bête!
Vous battez pas, je vous aime tous
Ahnonmaisoui
Biosmog a écrit :
olivier R a écrit :

Parents corrects = enfants corrects dans 90-95% des cas !


Mon dieu ce que c'est bête!


T'es saussice là (et laisse Dieu en dehors de tout ça).

En fait c'est pas si con. Si on considère que les parents incorrects font des enfants incorrects dans 100% des cas et que les parents corrects font des enfants corrects dans 95% des cas, combien de générations faudra t il pour que 10% de population composée de gens incorrects contaminent la totalité de la population ?

A vos calculatrices !
Mais non.
PierredesElfes
Mikka Grytviken a écrit :
Certes, mais il n'empêche que l'école à perdu en moyens et en marge de manœuvre.


Je suis pas certain que les moyens de l'education nationale soit la cause de ce qui se passe ....

Il y a 40 ans ....je doute qu'on puisse trouver une telle violence des ados ....qui se tuent pour un oui ou pour un non , qui agressent leurs profs et pas seulement verbalement !!! nier que cette violence et une consequence du delitement de notre societe et de l'effondrement culturel de ce pays ....mais bon surtout ne pas parler des vraies causes !!!!
La vie s'écoule comme l'eau d' un ruisseau, chaque mètre parcouru est à jamais perdu ...
JayjayWarhol
Mikka Grytviken a écrit :
Certes, mais il n'empêche que l'école à perdu en moyens et en marge de manœuvre.


C’est plus complexe que ça selon moi.

Enfant (dans les années 80/90) je n’ai quasiment jamais connu de classe à moins de 30 élèves et pourtant ça filait droit sans que la maîtresse ait besoin de faire la gendarme (pourtant on était tous des gosses de prolo dont un bon tiers étaient des enfants d’immigrés).
Résultat : bah le niveau était globalement bon, et on avançait.

Mes enfants sont dans une école publique où 80% des élèves sont issus d’une famille avec un quotient familial maximum, ils n’ont jamais eu une classe avec plus de 22 élèves .. et pourtant le niveau est catastrophique (si je le compare à celui de mon enfance, car pour l’E.N. les résultats sont excellents !) et la plupart des gamins ont un niveau de concentration d’un poisson rouge sous exta.

La faute serait au manque de moyen ?

Je pense que se contenter de ce constat serait se voiler la face.

Oui il y a un manque de moyens (rien que le trop faible salaire des profs est une honte pour un pays qui se veut encore dans le top 10 mondial), mais ce n’est pas le gros du problème.

Là encore, le problème vient pour moi des parents, qui ont majoritairement massacrer le statut sacré de l’École; en commençant par dénigrer les enseignants et en faisant passer leurs gosses au dessus de l’Institution.

Qui veut devenir prof dans une société où des petits cons auront toujours raison aux yeux de leurs parents, persuadés que leurs mômes sont des génies incompris alors qu’ils ne sont souvent que des boulets mal élevés (par ces mêmes parents) ?
Il suffit de regarder le nombre de candidats pour le nombre de places pour constater le désastre. (Et du coup on embauche des brêles capables de faire des fautes à chaque message dans le cahier de correspondance).

Comment un enseignant peut sereinement enseigner dans une classe remplie de gamins qui ne sont plus capables de se concentrer plus de 30mn par jour ?

Je pense qu’on peut multiplier par 200 le budget de l’E.N., tant que les gens ne se remettront pas en question sur leur manque de respect de l’Institution et sur leur façon de ne pas élever leurs gosses, l’effondrement de notre école publique continuera.

Et quand je vois alternativement les gouvernements de gauche se voiler la face en niant cette réalité (sans jamais chercher de vraies solutions, comme arrêter de payer les profs du privé .. un scandal incroyable qui perdure depuis des décennies) et ceux de droite se frotter les mains en regardant le navire coulé je me dis qu’on est vraiment déjà dans le précipice ..
Dark Schneider
JayjayWarhol a écrit :
Mikka Grytviken a écrit :
Certes, mais il n'empêche que l'école à perdu en moyens et en marge de manœuvre.


C’est plus complexe que ça selon moi.

Enfant (dans les années 80/90) je n’ai quasiment jamais connu de classe à moins de 30 élèves et pourtant ça filait droit sans que la maîtresse ait besoin de faire la gendarme (pourtant on était tous des gosses de prolo dont un bon tiers étaient des enfants d’immigrés).
Résultat : bah le niveau était globalement bon, et on avançait.

Mes enfants sont dans une école publique où 80% des élèves sont issus d’une famille avec un quotient familial maximum, ils n’ont jamais eu une classe avec plus de 22 élèves .. et pourtant le niveau est catastrophique (si je le compare à celui de mon enfance, car pour l’E.N. les résultats sont excellents !) et la plupart des gamins ont un niveau de concentration d’un poisson rouge sous exta.




Je partage exactement le même constat et le même vécu.

Par contre est-ce uniquement de la faute des parents en plus du manque de moyens ? Ca j'en suis pas sûr. Le manque de respect de l'institution scolaire c'est aussi de la faute de l'institution elle-même et des gouvernements et leurs orientations. A force de faire du nivellement par le bas, voilà le résultat, on ne respecte plus. Quant tu commences à dégrader un lieu et qu'on laisse faire, ce lieu aura de forte chance de continuer à se dégrader encore plus. C'est pareil avec nos institutions.

Un exemple parmi d'autres : la façon dont est désormais enseigné la musique en France au collège. On n'apprend plus la musique. On fait juste de l'initiation, on découvre des styles musicaux, mais on ne fait pas de musique, on n'apprend pas d'instrument, pas de solfège, rien. Juste du chant. Les cours de musique au collège sont nuls à chier. Avant, tout le monde apprenait un minimum de solfège, maintenant ce n'est plus le cas, si tu veux faire du solfège faut t’inscrire dans une école de musique, voilà comment diminuer un savoir parmi la population...

Ma fille est en troisième, dans le programme d'histoire de l'année y'a la 2nd guerre mondiale, l'entre deux-guerres. Elle a vaguement appris qui était Hitler, mais aucun mots sur Mussolini, j'ai halluciné ! Je l'ai engueulé une fois en pensant qu'elle n'écoutait pas en cours mais non, dans tous ses cours il n'y a avait aucune mention du fascisme italien, ce n'est vraiment pas sérieux... C'est un exemple parmi d'autres.

Bien sur, heureusement il y'a encore beaucoup de très bons profs qui font du mieux qu'ils peuvent, mais clairement ils ne sont pas aidés. Et avec le niveau de recrutement à la baisse... Niveau à la baisse qui se vérifie dans pleins d'autres administrations en plus, pas que l'éducation nationale.
Mikka Grytviken
C'est bien ce que je sous entend en parlant de marge de manœuvre.

::

C'est possiblement multifactoriel mais les chiffres montrent bien que le niveau en France chute fortement et ça n'est pas sans raison.
psm1962
Je mets cette petite vidéo, vous allez comprendre :



(En passant, sur sa chaîne, il fait des exercices du brevet années 30, un Bac+5, il sait pas les résoudre)

Regardez bien le titre : 6eme - 5eme !

ça va faire "vieux" mais de mon temps, fin 60's début 70és, on arrivait en CM2, on le savait déjà. Après, on s'étonne que le niveau baisse.
Sinon, en histoire, à la fin de la 3eme, on en était qu'à la Révolution, alors, la 2GM, c'était encore loin.
Et pour rigoler, un jour j'ai retrouvé un livre de 1977 (que j'ai hélas perdu depuis), le titre c'était "CAP Automobile, électricité". Tu le donnes à un mec qui sort Major du BAC Pro automobile, rien que la première page, il comprend rien.
Keep on the sunny side of life
Biosmog
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Tu crois qu'un type des années 30 survivrait combien de jours dans le monde contemporain?

Il faut arrêter les comparaisons stupides à un moment. L'éducation des années 1930 visait à former des individus compétents dans la société des années 1930, celle des années 2020 cherche à former des individus compétents dans la société des années 2020.
Vous battez pas, je vous aime tous
Bucker
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Pour les maths, le problème est qu'ils ne font quasiment plus de problèmes après la maternelle. Du coup, ils vont jusqu'au bac avec les connaissances pour résoudre des problèmes, mais sans pouvoir les mobiliser. C'est ce qu'on voit dans les résultats minables des études internationales sur le niveau de maths.

C'est le résultat de la politique qui part du postulat que pour que les "défavorisés" réussissent, il faut cantonner l'apprentissage à un cycle "apprendre-appliquer" sans les faire réfléchir par eux-mêmes. Au fond c'est le signe d'un invraisemblable mépris pour les gens.

L'avantage aujourd'hui c'est qu'avec Yvan Monka, Hedacademy et d'autres sur le tube, ils peuvent s'en sortir même s'ils ont un prof de maths chiant ou incompréhensible.
JayjayWarhol
Biosmog a écrit :

Il faut arrêter les comparaisons stupides à un moment. L'éducation des années 1930 visait à former des individus compétents dans la société des années 1930, celle des années 2020 cherche à former des individus compétents dans la société des années 2020.



Pas vraiment, ou plutôt pas du tout.
Dans les années 30, on était encore dans la pure continuité du XIXeme siècle qui considérait le progrès comme seul avenir possible. Donc on était convaincu que l’Education allait faire progresser l’Humanité et qu’il fallait absolument tirer les cerveaux vers le haut, quitte à en laisser certains dans le fossé (car on s’en foutait de l’individu, on pensait uniquement par le collectif).
C’était « marche ou crève » et c’était bien pratique pour nos dirigeants en cas de guerre (très à la mode à l’époque).


Aujourd’hui on est dans une logique totalement renversée, avec l’individu au centre de tout, et il ne faut surtout pas « brusquer » le moindre gosse.

Le résultat est un effondrement vertigineux du niveau moyen (tant le QI, que les savoirs).

Et à la limite, on pourrait s’en foutre et se dire que le principal c’est le bonheur des gens (par la simplicité d’un retour à la Nature par exemple), mais la finalité de ce laxisme ambiant c’est aussi et surtout le retour de grandes inégalités entre les enfants, avec comme sous l’Ancien Régime une caste de favorisés qui place ses gamins dans des écoles privées qui appliquent un enseignement performant (avec des méthodes anciennes), et les autres…

On est donc passé en 100 ans de citoyens dressés à la performance au service de la Nation (un système aliénant) à des individualistes égocentriques sous-cultivés au service d’eux-même.
Encore une fois, on est passé d’un extrême à un autre, alors que l’« idéal » est assurément quelque part entre les deux.


Donc pour revenir à ta remarque selon moi la comparaison n’est en rien « stupide » à partir du moment où l’on sait quoi et comment regarder ces deux époques.
Et ça permet aussi de mettre des balises temporelles, par exemple 1930-2020 dans notre cas.
D’ailleurs si on prend le juste milieu de cette période, ça donne 1975, qui n’est pas une période anodine dans le monde occidental (juste après 68 mais pas encore dans l’éducation dite « positive »).
Biosmog
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JayjayWarhol a écrit :
Biosmog a écrit :

Il faut arrêter les comparaisons stupides à un moment. L'éducation des années 1930 visait à former des individus compétents dans la société des années 1930, celle des années 2020 cherche à former des individus compétents dans la société des années 2020.



Pas vraiment, ou plutôt pas du tout.
Dans les années 30, on était encore dans la pure continuité du XIXeme siècle qui considérait le progrès comme seul avenir possible. Donc on était convaincu que l’Education allait faire progresser l’Humanité et qu’il fallait absolument tirer les cerveaux vers le haut, quitte à en laisser certains dans le fossé (car on s’en foutait de l’individu, on pensait uniquement par le collectif).
C’était « marche ou crève » et c’était bien pratique pour nos dirigeants en cas de guerre (très à la mode à l’époque).


Aujourd’hui on est dans une logique totalement renversée, avec l’individu au centre de tout, et il ne faut surtout pas « brusquer » le moindre gosse.

Le résultat est un effondrement vertigineux du niveau moyen (tant le QI, que les savoirs).

Et à la limite, on pourrait s’en foutre et se dire que le principal c’est le bonheur des gens (par la simplicité d’un retour à la Nature par exemple), mais la finalité de ce laxisme ambiant c’est aussi et surtout le retour de grandes inégalités entre les enfants, avec comme sous l’Ancien Régime une caste de favorisés qui place ses gamins dans des écoles privées qui appliquent un enseignement performant (avec des méthodes anciennes), et les autres…

On est donc passé en 100 ans de citoyens dressés à la performance au service de la Nation (un système aliénant) à des individualistes égocentriques sous-cultivés au service d’eux-même.
Encore une fois, on est passé d’un extrême à un autre, alors que l’« idéal » est assurément quelque part entre les deux.


Donc pour revenir à ta remarque selon moi la comparaison n’est en rien « stupide » à partir du moment où l’on sait quoi et comment regarder ces deux époques.
Et ça permet aussi de mettre des balises temporelles, par exemple 1930-2020 dans notre cas.
D’ailleurs si on prend le juste milieu de cette période, ça donne 1975, qui n’est pas une période anodine dans le monde occidental (juste après 68 mais pas encore dans l’éducation dite « positive »).



Hem, les années 30 n'étaient justement pas du tout dans la continuité du XIXe siècle, mais bref.

L'idée de "tirer les cerveaux vers le haut", d'optimisation scientifique de soi dans une compétition généralisée, la forme ultime étant le transhumanisme, est au contraire très actuelle. On n'a jamais autant poussé les enfants vers la performance qu'actuellement et d'ailleurs, cela ne manque pas dans ces moments magiques de serrage de boulons, on ressort toujours la critique du laxisme.

Ta "réfutation" montre que tu n'as même pas cherché à comprendre de quoi l'on parle, en l'occurence la comparaison, puisqu'il ne s'agit pas de savoir "quoi regarder" puisque je critiquais précisément ce qui était regardé.

Il faut se méfier des théorisations aussi générales, regroupant l'école, la géopolitique, la culture et je ne sais quoi, dans des périodes, les années 30, les années 75, les années actuelles, ou pire, des évolutions bien linéaire, c'est toujours la promesse de cumuler un très grand nombre de conneries en peu de phrases.
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PierredesElfes


Et tellement ressemblant ....
La vie s'écoule comme l'eau d' un ruisseau, chaque mètre parcouru est à jamais perdu ...
KawaZ
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je vous trouve bien durs avec les jeunes. ils se démerdent pas si mal une fois sur le marchés du travail.
je n'étais pas une flèche à l'école, "doit faire ses preuves à l'examen". Toujours moyen, je savais lire, écrire (avec beaucoup de fautes d'orthographes et de grammaires, heureusement qu'il y a la correction automatique, bien qu'elle aussi écrit trop souvent des conneries), compter (je connaissait mes tables par cœur), résoudre quelques problèmes, et une équation du premier degré, en gros une règle de trois, c'est tout ce qui te sert dans une carrière.
Bref, en sortant de l'école je ne savais rien faire, mais j'avais les outils, les bases (c'est le rôle de l'école, et t'apprendre à apprendre). le reste j'ai appris sur le tas, il m'a fallu tout apprendre. pour le technique, l'électronique, c'est pareil: c'est plus tard que j'ai su lire les schémas, avec les bases apprises en cours évidemment, et c'est le m^me principe qu'apprendre à lire tout court.
JayjayWarhol
Biosmog a écrit :
JayjayWarhol a écrit :
Biosmog a écrit :

Il faut arrêter les comparaisons stupides à un moment. L'éducation des années 1930 visait à former des individus compétents dans la société des années 1930, celle des années 2020 cherche à former des individus compétents dans la société des années 2020.



Pas vraiment, ou plutôt pas du tout.
Dans les années 30, on était encore dans la pure continuité du XIXeme siècle qui considérait le progrès comme seul avenir possible. Donc on était convaincu que l’Education allait faire progresser l’Humanité et qu’il fallait absolument tirer les cerveaux vers le haut, quitte à en laisser certains dans le fossé (car on s’en foutait de l’individu, on pensait uniquement par le collectif).
C’était « marche ou crève » et c’était bien pratique pour nos dirigeants en cas de guerre (très à la mode à l’époque).


Aujourd’hui on est dans une logique totalement renversée, avec l’individu au centre de tout, et il ne faut surtout pas « brusquer » le moindre gosse.

Le résultat est un effondrement vertigineux du niveau moyen (tant le QI, que les savoirs).

Et à la limite, on pourrait s’en foutre et se dire que le principal c’est le bonheur des gens (par la simplicité d’un retour à la Nature par exemple), mais la finalité de ce laxisme ambiant c’est aussi et surtout le retour de grandes inégalités entre les enfants, avec comme sous l’Ancien Régime une caste de favorisés qui place ses gamins dans des écoles privées qui appliquent un enseignement performant (avec des méthodes anciennes), et les autres…

On est donc passé en 100 ans de citoyens dressés à la performance au service de la Nation (un système aliénant) à des individualistes égocentriques sous-cultivés au service d’eux-même.
Encore une fois, on est passé d’un extrême à un autre, alors que l’« idéal » est assurément quelque part entre les deux.


Donc pour revenir à ta remarque selon moi la comparaison n’est en rien « stupide » à partir du moment où l’on sait quoi et comment regarder ces deux époques.
Et ça permet aussi de mettre des balises temporelles, par exemple 1930-2020 dans notre cas.
D’ailleurs si on prend le juste milieu de cette période, ça donne 1975, qui n’est pas une période anodine dans le monde occidental (juste après 68 mais pas encore dans l’éducation dite « positive »).



Hem, les années 30 n'étaient justement pas du tout dans la continuité du XIXe siècle, mais bref.

L'idée de "tirer les cerveaux vers le haut", d'optimisation scientifique de soi dans une compétition généralisée, la forme ultime étant le transhumanisme, est au contraire très actuelle. On n'a jamais autant poussé les enfants vers la performance qu'actuellement et d'ailleurs, cela ne manque pas dans ces moments magiques de serrage de boulons, on ressort toujours la critique du laxisme.

Ta "réfutation" montre que tu n'as même pas cherché à comprendre de quoi l'on parle, en l'occurence la comparaison, puisqu'il ne s'agit pas de savoir "quoi regarder" puisque je critiquais précisément ce qui était regardé.

Il faut se méfier des théorisations aussi générales, regroupant l'école, la géopolitique, la culture et je ne sais quoi, dans des périodes, les années 30, les années 75, les années actuelles, ou pire, des évolutions bien linéaire, c'est toujours la promesse de cumuler un très grand nombre de conneries en peu de phrases.


J’avoue que je n’avais pas compris/saisi le départ de ton raisonnement et je pensais que tu lançais une généralité contre les comparaisons.
Désolé.

Toutefois je ne suis absolument pas d’accord avec toi sur ta vision de la situation actuelle.

Tirer les cerveaux vers le haut à travers une compétition, ce n’est absolument pas le modèle appliqué aujourd’hui par l’Éducation Nationale, bien au contraire.
Les enfants de primaire ne peuvent pas redoubler (d’ailleurs on ne dit plus un « redoublement » mais un « maintien » pour ne pas traumatiser les « pauvres petits chats ») si les parents ne sont pas d’accord - même si officiellement c’est à nouveau le cas depuis cette année -; il n’y a quasiment plus de devoirs à la maison, plus de punitions, plus de notes, plus de moyenne à l’école primaire .. brefs on est très loin du modèle des années 30, et tant mieux !

Aussi je n’ai pas dit qu’il fallait faire des comparaisons, j’ai juste dit que ce n’était pas nécessairement « stupide » à partir du moment où l’on sait ce que l’on regarde et que l’on connait bien le contexte.

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