BiZ a écrit :
Bah donne nous le contexte alors
Moi je réagis simplement à ça:
(d'ailleur je suis plutot d'accord avec ce qu'il dit : je ne trouve pas "normale" qu'il y'ai si peu de blancs en equipe de france de foot (meme si je m'en cogne completement)
Je trouve que se poser la question, c'est déjà suspect... Pour le constat sur les médias, je suis bien d'accord avec toi. Il n'empêche...
Que ça soit clair : je ne suis pas là pour défendre ce type que je ne connais pas, et dont je me fout royalement (
).
On l'interroge sur l'equipe de france et ce mec s'etonne qu'il y'ai autant de noirs (et encore, il utilise le terme politiquement correctde "black") en equipe de france (la statistique nationale voulant qu'ils soient deux ou trois) et explique ce quota du fait que les blancs sont mauvais.
C'est sur que c'est pas malin par les temps qui courent de faire cette déclaration. Et qu'est-ce qu'on retient dans les medias ? Le propos rasciste "il y'a trop de noir en equipe de france"
Concernant les "harkis", il s'en prend aux fils de harkis. Ceux-ci ayant rallié les deputé UMP pour une inauguration d'une stelle comémorative alors que ce sont justement les gaullistes qui ont laissé massacrés les harkis. Il leur dit donc : vous vous alliez aux assassins de vos pères, vous n'avez pas d'honneur, vous etes des sous hommes.
Et qu'est-ce qu'on lit dans la presse: "Frêche traite
les harkis de sous hommes".
Je trouve ces deformations, ces raccourcis, déplorables, allant à l'encontre de la liberté d'expression, et dans une certaine mesure dangereuses.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969