King's card a écrit :
D'aprés ce que j'ai compris, un MP3 ne garde que les fréquences audibles
C'est ce que je croyais. Mais j'ai un doute : la "qualité cd", c'est une fréquence d'échantillonnages de 44kHz ce qui veut dire que tu peux encoder des son de 0 à 22kHz soit quasiment la plage d'audition de l'oreille humaine. donc je ne voit pas ce que le MP3 peux supprimer comme fréquence.
Citation:
mais cela n'emèche que les autres sont importantes également. Donc plus tu écoutes des mp3, plus ton oreille s'y habitue, et donc plus tu deviens fragile.
Non, aucun lien avec le format MP3.
Ce qui sort des haut parleurs/ écouteurs ce sont des ondes acoustique. Et c'est leur amplitude qui est nocive pour les oreilles. Pas leurs fréquences.
Citation:
C'est comme le mec qui n'écoute que de la musique avec les basses à fond, s'il les enlève cela lui paraitra fade (alors que non). Ou bien le mec qui rajoute 3 tonnes de sel dans ses lentilles, au bout d'un moment il ne peut plus rien apprécier sans ajouter du sel.
Pour en revenir au MP3, il faut également prendre en compte la production. Apparement, un gros pourcentage de musique est écoutée en MP3 avec des enceintes pourries ou un casque dans la rue. Donc les albums sont surmixés pour arriver à un résultat hyper constant du début à la fin (genre pas de changement de volume sur un refrain ou un couplet). Donc d'un morceau d'un groupe à un autre, tu vas t'en prendre pleins les oreilles de plus en plus fort. D'ailleurs, sur certains albums, ils n'hésitent pas à couper au mix toute une parties des aigues pour pouvoir mettre encore plus fort sans t'éxploser la tête.
Ca s'appelle la compression. Mais ça n'a rien à voir avec le MP3 également.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969