Doc Loco a écrit :
dîdîthegrâve a écrit :
Moi ce film me fait réellement flipper justement à cause de ce silence sidéral.
Et puis l'importance de la musique sur les plans de vaisseaux, le vaisseaux qui valsent pratiquement sur le temps. Les regards que s'échangent les deux astronautes sur le comportement de l'ordinateur... Des milliers de détails qui donnent une densité incroyable au film.
A la limite, même le "regard" de l'ordinateur - ce qui est d'autant plus drôle qu'il s'agit d'un bête spot rouge dans un cadran, mais l'atmosphère est telle qu'on finirait par en fair eun interlocuteur. A ce propos, même si c'est connu, le nom de ce dernier (H.A.L. en anglais, la traduc' française en "Carl" est bien foireuse) vient tout bêtement d'I.B.M. - ce sont les mêmes lettres décalées d'un rang.
En 69 (année ér....) le Journal Pilote (mâtin quel journal!) avait créé une histoire racontant la douce idylle entre l'ordinateur HAL et une de ses congénères LOUYA (histoire de Poppé à l'origine).
Sinon en informatique/électronique on utilise réellement le terme HAL pour "Hardware Abstraction Layer"