Raphc a écrit :
Pour connaitre de près le problème
- La RATP va se faire taper sur les doigts pour ses retards (en fait ils vont prendre des amendes).
- Je sais qu'ils ont fait un essai sur une des lignes d'avoir des "rentreurs" dans le train. Bon, ils ont pas le droit de pousser à la japonaise (pas encore ??).
J'ajoute que j'en ai aussi marre du crétin assis sur son strapontin quand le wagon est plein comme un huitre.
Ah bon ?
Moi je ne les stygmatise pas pour les retards, tout ne peut pas être réglé comme une horloge, la circulation, les accidents, les travaux, les "incidents" sur les lignes, etc, c'est un peu idiot de les sanctionner pour ça, ils n'en sont pas vraiment responsables, mais c'est toujours bien pour les "usagers" ou les "clients" (héhé) qui vont travailler de pouvoir présenter un justificatif à leur lieu de travail qui prouve que le retard n'est ni l'effet d'une quelconque paresse ou négligence.
(Enfin pas directement, parce que c'est vrai qu'une fois que je l'ai le petit papier, je rentabilise la demi heure ou le quart d'heure affiché dessus).
Nan, les "pousseurs" c'est hors de question, c'est tellement ridicule et c'est dangereux.
Encore la preuve que c'est vraiment un pays de fous.
Mais y a des "agents" de la RATP des fois, notamment sur la ligne A aux heures de pointe, qui veillent à ce que les gens sur le quai ne s'approchent pas trop de la bordure, ne se mettent pas devant les portes en gênant la sortie, attendent que tout le monde soit descendu avant de rentrer (pour moi c'est une histoire de civisme), et... je sais pas si vous avez remarqué, une fois que tout le monde est monté dans le train et que la sonnerie retentit, il y a le petit geste symbolique, ils accompagnent la fermeture des portes en faisant mine de les pousser (c'est assez drôle), scellant ainsi le destin des voyageurs...
Oui le mec assis sur le strapontin quand c'est bondé c'est vraiment relou, en plus je sais pas comment ils font, c'est insupportable d'être assis au milieu de gens debouts, moi j'ai l'impression de manquer d'air, d'être écrasé (vous allez me dire de toute façon on l'est, écrasé), alors je me lève, je dois être un peu clostro.
Je sais pas, en me mettant à la place du mec, surplombé par une masse au regard hostile et plein de reproche, juste en dessous de l'aisselle d'untel et le nez presque collé au postèrieur d'un autre...
Il faut avoir une certaine force d'abstraction, de stoïcisme, et quelque part, ça force le respect.
Petite astuce quant à ces casse-pieds, ne vous gênez pas pour les gêner en retour, pour marcher un peu sur leurs chaussures, "oh pardon", les écraser un peu, et d'avantage quand le train accélère, "oups, désolé", et si possible, si l'occasion se présente, lâcher une petite flatulence, comme ça, bien orientée (mais dans ces cas là on ne dit rien).
Le paresseux finira irrémédiablement par se lever, excédé, sauf s'il est cul-de-jatte ou handicapé, trop vieux, etc, dans ces cas là, et bien il aura connu un bien pénible voyage, héhé !
tschiiip.