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Je suis bien d'accord ! Dans le premier, le mec a des capacités, se surpasse un peu mais ça reste crédible, puis il y a une ambiance particulière.

Dans les suites, ce n'est plus qu'une caricature.

Je me demande si il a bien vieilli le 1, quelqu'un l'a vu récemment ?

7

Oui ...

Il n'a pas vieilli au niveau de l'histoire, la real un peu, comme beaucoup de films il y a quelques plans un peu longs mais çà se regarde encore pas mal et puis, c'est le seul Rambo avec du fond ... retour du vietnam, syndrome post-traumatique, non reconnaissance des vétérans ... Ce n'est pas le même niveau que Né un 4 Juillet ou même Forest Gump mais c'etait avant le passage de Stallone au Cinema purement d'action et la surrenchère musculaire avec Schwazy ...

Clairement, il y a rupture avec le 2eme qui est lui purement tourné vers l'action et la revanche ... Le fantasme des americains de revenir dérouiller les vietkongs et gagner la guerre à postériori ...

C'est souvent intéressant de regarder en parallèle Hollywood et l'actualité américaine comme après le 11 septembre par exemple ...

Sans le 11/09, on aurait peut pas eu droit à toutes ses vagues de super heros à la con qui pour la plupart n'auraient jamais dû sortir des comics papiers ... ce besoi ndes americains, de se rassurer sur leur invulnérabilité, c'est vraiment un peuple d'angoissés ...

D'ailleurs on m'avait vendu Black Panther ... et bien sorti du politiquement correct et du casting 90% black, ils ont fait la même merde que les avengers, justice league et toutes ses daubes, j'ai pas tenu 45 minutes ...

Tu arrives à en trouver à Expandable ? Tu peux empiler tous les ex acteurs bankables et les gros bras du cinéma US, ça ne fera pas pour autant un bon film

j'ai vu y'a pas longtemps, juste pour voir s'il n'y avait pas autre chose que toute cette violence, seule chose dont je me souvienne, je l'avais pas vu depuis 25ans, bien au final il y a plein de bonnes choses dedans, je rejoint ce qui a été dit plus haut, retour du vietnam, non reconnu, non remercié, vie marginale et traité comme un clodo, post-trauma (ce qui est plutôt pas mal pour son époque de réalisation parce qu'on ne devait pas beaucoup le reconnaître ni vouloir en parler de peur de passer pour un lopette), donc au final il n'a pas si mal vieilli, certains film n'ont pas autant de choses à dire, je pense a "man down" avec Shia LaBoeuf et Kate Mara mais c'est typé post-apocalyptique ou un autre film "Brothers" vu récemment avec comme rôle principal Tobey Maguire

Mais ces daubes de supers héros à la c... comme tu dis c'est des films pour les gosses, mon gamin de 10 ans il adore et c'est tant mieux.
C'est même grâce à ça qu'il s'est mis à adorer le rock et à apprendre la guitare. Il est fan de ACDC grâce à Iron Man, fan de Led ZEP depuis Thor, et adore la BO des gardiens de la galaxie qui est excellente.
T'as pas tenu 45 minutes, mais tu n'es pas le public visé, moi j'ai pas tenu 5mn devant la reine des neiges.
Faut relativiser parfois...

Oscars pour Bong joon Ho ! Meilleur film, meilleur film international, meilleur réalisateur, meilleur scénario.

Très surpris de la part des américains !

Mais amplement mérité.

Je l'espérais de tout mon coeur mais je n'osais y croire. Pour ceux qui ne l'ont pas encore vu, ça va peut-être vous décider, parce qu'il faut vraiment un film exceptionnel pour ainsi secouer les habitudes et les cocotiers .

Thriller bien sympa a voir " 21 Bridges "

moi ça me fait marrer, récompenser un film dénommé "parasite" produit/réalisé/joué par des asiats pendant le corona virus, c'est biutifoul

Pour les fans de Louis de Funès, je signale que la Cinémathèque française consacre, Ô infâme sacrilège selon la frange la plus péteuse des rats de cinéma qui hantent ce lieu, un cycle à l'acteur du 1er avril au 2 août + une exposition.
https://www.cinematheque.fr/cy(...).html



Parmi les nombreux films au programme, je conseille vivement un film rare à la télévision car à l'extrême opposé du politiquement correct qui s'insinue depuis plus de 20 ans dans toute la société :
Les Bons Vivants (1965)
Co-réalisé par Lautner, dialogué par Audiard, casting de prestige.
La fermeture des maisons closes évoquée en 3 actes. Avec comme fil conducteur, la fameuse lanterne rouge.
1. La fermeture.
2. Le parcours d'une des pensionnaires, qui grâce à ses talents a gravi une à une les marches pour accéder aux plus hautes sphères.
3. Je n'en dis pas plus.

Hilarant.
Le 9 mai à 20h30.

Ca ne s'invente pas !

Ajouté à mon agenda

Merci pour l'info.

Il me semble pourtant que ma phrase est limpide. J'ai bien écrit "hantent" et non pas "hante".

"la frange la plus péteuse" seulement, ceux qui pensent que le cinéma populaire est forcément de la crotte.
Pas tous les rats de cinéma qui fréquentent la Cinémathèque (j'en suis un), ni l'institution elle-même.

Malentendu dissipé.
Parenthèse fermée.

Histoire de relancer la polémique , j'ai enfin vu The Irishman (découpé en 3 parties, désolé Martin, impossible de libérer 3h30 d'une traite dans mon agenda de ministre). C'est un grand film et un retour nécessaire de Scorsese sur ses précédents films de gangster. Une grande fresque dont la longueur, nécessaire quand on entend notamment évoquer le sujet du temps qui passe, ne m'a jamais semblé ennuyante. Y a énormément de choses à dire sur ce film, je ne sais par où commencer. J'y allais avec des craintes, et si on ne retrouve pas la virtuosité à la caméra des tout grand Scorsese, c'est une oeuvre d'une grande richesse et qui mérite plus qu'un simple coup d'oeil curieux.

Seuls bémols de mon côté : pendant au moins une bonne demi-heure j'ai eu un peu de mal avec les effets de rajeunissement numériques avant d'être finalement pris par l'histoire. J'ai également trouvé que la bande son, en général un élément essentiel du cinéma de Scorsese, manquait un poil de souffle et de dynamisme.

J'ai également vu Blade Runner 2049, de belles images mais un réel manque de profondeur si on le compare avec l'original de Ridley Scott. Très décevant je trouve...

Enfin, j'ai vu The Two Popes, réflexion subtile et intéressante sur une institution envers laquelle j'ai a priori plus d'antipathie que de sympathie. Anthony Hopkins y est impressionnant.