Tiens y'a pas longtemps à Versailles une vieille maison , soirée de l'après bac...
Un pote nous raconte qu'il y avait déjà été, que les flic etaient repassé depuis...On arrive, escalade un mur et une grille sertie de barbelé, une végétation dense (de nuit, avec des portables comme seules lampes) quelques grillages assez vieux, rouillés, puis le jardin une piscine vide recouverte de mousse sous les rayons de la lune, des fougères et la maison ressemblant à un petit manoir...
Selon mon pote, l'entrée etait derrière ; on fait le tour, se frayant un chemin , se prenant parfois quelque branche qui trainait, puis on voit la porte condamnée par une planche cloué...Zut...
En cherchant un peu on découvre une porte, mais qui ne donnait sur rien, c'etait un cagibi ou garage, ou etait entassé des projecteurs , et divers objets incongrus sous des monceaux de toiles d'araignée...
Un pote trouve une fenetre légerement en hauteur ouverte, il escalade, se retrouve dans les toilettes, et nous fait monter ...Peu à peu l'odeur nauséabonde du moisi me chatouille les narines, et le "plic ploc plic ploc" du lavabo me faisait frémir....
La pièce principale...un grand hall , le plafond forme un dôme avec une sorte de rosace ,une sorte de grosse brique se trouve au milieu de la piece macabre...Le plafont craque, le parquet craque, mes dent claquent...Puis on entre dans une piece et on se retrouve face à un miroir ! nous ne pûmes retenir un léger cri d'effroi en face de ce dernier, dans la semi obscurité..Après avoir fouillé en quête d'objets interessants, nous sortîmes et j'arracha mon jeans sur les barbelé, au niveau de l'entre jambe...Un souvenir morbide
"Ils perdent leur santé à faire de l’argent et, par la suite, ils perdent tout leur argent à tenter de la retrouver. En pensant anxieusement au futur, ils oublient le présent, de sorte qu’ils ne vivent ni le présent, ni le futur. Finalement, ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir et ils meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu..."