FILS DE P...

Allez pour les Belges :




R.I.P.

Me demande s'il rêvait vraiment que son fils fasse du gangsta rap du Lidl en croyant percer là où son père avait échoué.


Et ça s'appelle "Dope Skwad"...

Allez, plus méconnu mais un tir groupé qui part en vrille :

Mike McGear alias de Peter Michael Mc Cartney, frère du piaf à ses côtés :



Ben quoi direz vous? Ben il a commencé avant que les Beatles n'aient du succès et s'est choisi un pseudonyme afin d'éviter l'amalgame ou les accusations d'opportunisme (tu le savais Docteur Tchouk-Tchouk?). Tout de même un n°1 UK en 1968 avec :



Sûr qu'ils allaient faire hurler les galinettes avec leur chanson à boire et leur dégaine.

Repris en français en adaptant à peine les paroles par :


Lui-même le père de :

Pas musicien mais sifflait beaucoup du né et jouait de la planche à linge avec ses cloisons nasales.
Allié dans la défonce avec :

Pas musicienne non plus mais faisait des concerts de pleureuse dans les médias sur sa situation de petite fille riche et d’ailleurs fille de :

Elle-même épouse de (pour finir sur une note comique) :

Dont le film la « Folie des Grandeurs » fut orchestré par :

Afin de dissiper tout doute, le dernier n'est pas Pierre Richard botoxé ou lifté à la cortisone. Non ! Pierre Richard a chanté "Le Gorille" et l'immortelle :



Son fils, plus modestement soufflait le cuivre un soir de pluie :



Leur carrière musicale a vite pris l'eau.

La femelle est Clémence Lhomme, fille du célèbre photographe cinéma césarisé (L'armée des ombres, Camille Claudel...) :

Marrant que personne n'ai parlé de Michael Jackson (difficile de passer à côté depuis quelque temps)...


Avec les frangins...


Les soeurettes...


Et aller, pour la route, les neveux (fils de Tito)

Caspar Brotzmann, guitariste phénoménal qui commence sa carrière avec son groupe Massaker dans la fin des années 80, rejoint ensuite les divers combo de son père Peter Brotzmann

saxophoniste à qui l'on doit le célèbre Machine Gun, souvent décris comme le premier album de free jazz européen (aka blanc).

Aaaah Caspar Brötzmann, un de mes meilleurs souvenirs de concert dans un festival à Vandeuvre les Nancy avec Rhys Chatham.

Cela fait bien longtemps qu'on n'entend plus parler de lui.

Sasha Sperling, ecrivain ou quelque chose d'approchant, fils de Diane Kurys et Alexandre Arcady ( )


Ariane Fornia, fille de Eric Besson (traitre et ministre) et Sylvie Brunel (géologue et ecrivain)

Le pere : Ringo Starr.



Le fils : Zak Starkey, batteur des Who et de (feu?) Oasis.


Le fils joue mieux que le pere.

Bof... il joue dans l'orchestre de l 'hospice, il ne doit pas etre si bon que ça!

Le fils n'a rien amené de nouveau, le père si.

http://web2.iadfw.net/gshultz/(...).html

Ceci dit, j'aime bien Zak, qui a la rigueur de son père et l'aisance débridée de son parrain.

Meme je reconnais que l'on sous-estime Ringo Starr en tant que batteur et l'influence qu'il a eu sur des tas de jeunes qui se sont mis a jouer de la batterie, en tant qu'ancien frappeur de peaux et autres cymbales, je persiste dans mon propos, je trouve que son fils joue mieux que lui.

Zak Starkey n'a peut-etre rien amene mais il aura eu le merite de reprendre le role du batteur des Who sans copier Keith Moon et en faire quelque chose de coherent. Ah, cette version de "I Can't Explain" en ouverture du concert de Bercy en 2007, un reve de mise en place, la plus belle version que j'ai jamais entendu.

De meme, lorsqu'il jouait avec Oasis en concert ca allait tout de suite mieux. Bon, vous me direz, on ne pouvait pas vraiment descendre plus bas, mais quand meme.

Tu es (étais?) batteur? alors va me réécouter (pas "entendre" ... écouter) quelques trucs comme (entre tant d'autres) Tomorrow never knows, I'm the walrus, She said she said, Rain, Come together ou I want you (she's so heavy). Si en plus d'être (ex?)batteur tu penses être musicien, écoute (oui, encore) la façon dont l'instrument est utilisé au service du morceau, et pas pour se mettre individuellement en valeur.

Je parle bien d'aller les écouter ces morceaux, pas de te baser sur le souvenir que tu en as.

Si après ça tu reviens me dire la même chose, je l'accepterai comme ton avis (mais en toute franchise mon opinion sur toi en tant que batteur en aura pris un coup).

Cher Doc Loco je te rejoins a 100% sur le fait qu'un batteur doit etre au service du morceau et que Ringo Starr est un bon batteur mais je persite toujours dans mon idee, je prefere son fils.

Ne t'inquietes pas, ayant arrete la batterie il y a plus de quinze ans, je ne me considere pas (plus) comme un musicien.

Encore heureux qu'un ex(pourquoi pas) Batteur (on aura tout vu) ne se considère pas comme musicien.

Disons que le père a plus de mérite à s'être construit un style ( immediatement identifiable, quoi ? Ce n'est pas en ça que consiste le talent du musicien?) au sein d'un groupe alors que le fils joue les mercenaires pour divers formation dont certaine constitué de personnes agées.

Le père a joué dans les Beatles, le fils dans le sgt pepper lonely hearts club band...

+1 Doc: je suis moi-même un fervent défenseur de Ringo Star en toutes circonstances... et il faut savoir le défendre bec et ongles face aux mécréants du rythme et autres narcissiques de la technique, dont il est le sujet de moquerie numéro 1 !
ainsi que le 1er batteur de AC/DC d'ailleurs, voire Pink Floyd:

le beat le beat le beat le beat le beat

y a que ça qui compte, c'est la base de tout.
Tenir un beat aussi simple et souvent lent, en le faisant "pousser" encore et encore à chaque (rare) coup de baguette ou de maillet, c'est extrêmement difficile... mais c'est ça qui fait bouger les hanches de ces dames de manière implacable !

Vouloir mettre des fioritures sans la matrise parfaite du beat de base c'est inutile, c'est comme des bassistes qui te parlent de groove quand ils sont pas carrés: le groove vient par-dessus une maîtrise rythmique parfaite, et non en substitution de celle-ci...
idem pour le placement des accords en reggae.


Tomorrow Never Knows est pour moi aussi l'exemple parfait d'un batteur qui imprime son commandement à bouger ses miches, renouvelé à chaque mesure avec la même force.
Une vraie injonction, qui cadre merveilleusement avec le coté mystique du morceau (Lennon,à la base, voulait que le texte soit chanté par un groupe de moines Tibétains en haut d'une montagne!!! haaaa nostalgie des 60's bien chimiques )

par contre la batterie de Come Together, c'est Paul qui l'a très certainement composée... voire même enregistrée selon certains dires...