Glamandshred a écrit :
LTE et Dream Theater etaient 2 groupes distincts, c'est pour ça que Tony Levin n'est pas dans Dream Theater ...
Et Jordan Rudess ne l'était pas non plus à l'époque.
chacal a écrit :
C'est à ce moment que je me suis apercu notamment que les fans tout autour de moi encensaient systématiquement tout ce qui pouvait s'attacher de près ou de loin à DT: albums solos, lives...c'est compliqué et mélodique: ouaaaah c'est trop foort.
Mmmmh... Je crois que, même si ça m'embête un peu de l'avouer, je suis fan. Et pourtant je n'ai pas aimé le 2è cd de six degrees et plusieurs chansons de leur répertoire. Toujours est-il que j'adore encore aujourd'hui metropolis pt2 et pour cause, je ne le percois absolument pas comme une prouesse technique. Il s'en dégage une atmosphère, une âme, bref je l'écoute comme je regarde un grand film et c'est à chaque fois les mêmes sentiments de beauté, de diversité (through her eyes ne dépareillerait pas sur un album de U2 grande époque), de puissance (la montée de l'intro sur Home!!!), d'homogénéité... Beaucoup de personnes non-musiciennes autour de moi l'aprécient vraiment et c'est pour moi un signe que ce n'est pas un groupe ultra technique pour shredders névrosés. Enfin bon, je prend mon pied à chaque fois et il y a peu d'oeuvres, musicales ou non, qui m'offrent autant de sensations (quand je dis que j'en chiale, ça fait vraiment
, et pas parce que j'entend 36 notes par seconde mais bien parce que je ressens de l'émotion). Une chose est sûre, ça ne s'écoute pas en faisant le ménage, il faut se poser, si possible avec les paroles, et se laisser submerger. Je l'ai déjà dit mais il n'y a que deux albums qui me font un tel effet, celui-ci et Ocean Machine de Townsend.