archtop a écrit :
La pluie de notes du début tranche totalement avec un morceau comme Walking on the Moon, ou les notes rares sont comme suspendues dans l'ether.
"pluie de notes"? C'est simplement un tremolo picking, rien de compliqué. Il est beaucoup plus compliqué justement de jouer un morceau comme "Walking on the moon" où la mise en place (la technique, ce n'est pas que desnotes rapides
) est essentielle et ne tolère pas la moindre approximation .
Citation:
Il y eu parait il au début, une (très) courte période à quatre, mais le pauvre Henry avait un concurrent très rude avec Summers, j'ai lu que le bougre hantait les studio londonniens avec Page, Beck et Clapton...
Summers (le plus âgé du groupe d'ailleurs) avait en effet une déjà longue carrière de guitariste pro, aux côtés de Kevin Ayers notamment.
Citation:
J'avais vu à la télé (la télé passait de la musique ...jadis) un concert du trio, c'était impressionnant, Copeland tenait le rythme d'une main de fer, rentrés à l'entracte les trois étaient lessivés.
Pour ceux qui l'ont vu, je ne sais plus ou et quelle date, mais le groupe porte à un moment des hauts de forme qui doivent faire 1m50 de haut.
Je les ai vu sur scène à l'époque de la sortie du troisième album (début des eighties) et effectivement, une pêche d'enfer, rien à voir avec ce que Sting est devenu par la suite, ça bondissait dans tous les sens et à un rythme d'enfer.
In rod we truss.
"Quelle opulence" - themidnighter
"It's sink or swim - shut up!"