Nedz a écrit :
Tu me diras, dans les deux cas, se faire un son propre ne suppose pas qu'on en mette à toutes les sauces mais justement qu'on sache placer l'effet au bon endroit, sur quelque nappe, rythmique ou solo "emblématique".
J'adore ça pour ma part : jouer une très grande partie du temps à sec (sans compter le comp, qui reste enclenché quasiment en permanence mais, que je ne perçois pas comme un effet à proprement parler) et lancer les effets de façon précise. Ok, je m'égare...
L'univibe supporte les deux usages : sur une compo, je ne l'utilise que sur le riff final dans un effet de tourbillon qui conclue la progression. Sur une autre, elle est allumée du début à la fin pour habiller l'arpège ou "funkiser" le solo final... je l'adore pour ça. En effet de phasing, en son typé leslie, en chorus profond, en vibe type... elle permet de sonner de mille manières, de former la pâte sonore ou de souligner un moment. C'est vrai que je ne l'allume pas sur tous les morceaux, mais c'est un effet vraiment riche.