à propos des droits de succesion...
c'est un acquis de la révolution FRANCAISE, pour éviter la pérennisation des inégalités.
c'est proportionnel et touche, comme toute la fiscalité en france, plus les riches que les pauvres...
être contre, c'est une pensée réactionnaire au sens strict (lire les grands auteurs de la contre-révolution, de Bonald, J de Maistre, etc)
s'il te plait, guy, lit
attentivement cet article :
http://www.lexpansion.com/art/(...).html
perso, je gagnerai beacoup avec une défiscalisation de la succession, crois moi !
alors... es-tu un citoyen qui vote pour son propre interet ?
ou vote-tu pour le bien commun ?
c'est une question centrale de lé démocratie et de la citoyenneté...
et des sciences sociales et de la philosophie aussi :
l'agrégation des interets particulier aboutit-elle au bien commun ?
question classique s'il en est.
tout le débat droite-gauche, pensée économiste classique-pensée marxiste ou néo interventionniste...
individualisme méthodologique-holisme...
le mythe de l'électeur citoyen éclairé est bien mal en point... grace aux médias modernes (comme le net), on voit bien que ce sont les interets personnels qui justifient le plus les prises de position.
y compris les appartenances (rétribution psycho-affectives) et les logiques d'estime de soi (ah, je cite encore Braud...
)
alors la question fondementale est de retour...
l'addition des interets individuels amène-t-elle à l'optimum (V Pareto) ?
ou la société est-elle par nature injuste et sucite des crises (endogénéité de la crise) ?
est-il légitime d'essayer d'agir sur le social et l'économique ?
ou faut-il laisser la Providence (A Smith) ou le marché (marginalistes) le faire seul ???
je me risque à une question :
sommes nous dans une phase croissante du cycle d'implication politique au sens de A Hirshmann ? (cf- bonheur privé, action publique) ?