tiens je vous fais profiter de ce merveilleux copié collé de wikipedia, résumant très bien ma conception de la sociale démocratie (point de vue de DSk du PS)
Citation:
Pour Dominique Strauss-Kahn, la mondialisation n'est pas une malédiction. Elle est une chance. Seulement, il faut se donner les moyens de rester en tête en matière d'innovation et de créativité, pour permettre de garantir à tous les Français un niveau de vie élevé.
Dominique Strauss-Kahn estime donc qu’il est nécessaire de refonder un nouveau « compromis social ».Pour cela, le socialisme doit « changer de logiciel », c’est-à-dire revenir à une recherche de la justice sociale et de la dignité humaine. Ce renouveau du socialisme passe par le recours à une méthode du réformisme radical, qui peut emprunter trois axes:
-La redistribution de richesses
-La régulation de l'économie
-La lutte contre les inégalités de naissance
Dominique Strauss-Kahn assume le fait que la mise en place de telles actions suppose un niveau de fiscalité élevé, ainsi qu’une économie en croissance. Pour lui, l’État doit donc mener une politique de relance à court terme, et l'investissement dans la haute valeur ajoutée à long terme.
Pour expliquer les difficultés actuelles de l'économie française, il souligne qu'il ne s'agit pas seulement d'une crise de demande, mais également d'une spécialisation de l'économie française sur des secteurs de moins en moins protégés de la concurrence des pays en développement. Le remède passe donc en particulier par un investissement massif dans les nouvelles technologies et l'éducation.
DSK ne fait pas de la propriété publique de certaines entreprises un principe. Ayant privatisé nombre d'entreprises lors de son passage au Gouvernement Jospin, il a envisagé dans "la flamme et la cendre" l'ouverture de capital d'EDF pour permettre des partenariats industriels. Il s'est depuis opposé à la privatisation d'EDF et de GDF en estimant qu'elles ne s'inséraient pas dans des schémas industriels, mais considère qu'en l'état des finances publiques, la renationalisation d'EDF ne doit pas constituer une priorité d'un futur gouvernement socialiste.
Pour lutter contre la pauvreté dans le monde, il prône la limitation de la libéralisation, et de l'influence de l’OMC, l'ouverture du FMI et de la Banque mondiale aux pays pauvres mais aussi le soutien de la démocratie et l'augmentation de l’aide internationale.