Insecte juteux a écrit :
et comme quelqu'un l'a dit plus haut s'il n'yavait pas de dopage, la hierarchie resterait a peu près la même.
Il faut reconnaître que certains coureurs comme Indurain ont de telles aptitudes physiologiques exceptionnelles, que rein a priori ne peut les arrêter : un cœur qui bat à 28 pulsations par minute au repos, qui monte à 150 au sommet d’un col et redescend à 60 trente secondes après avoir cessé son effort. Une capacité pulmonaire supérieure de près de 8 litres, une « VO-2 max » (consommation minimale d’oxygène) hors du commun, une puissance qui, mesurée en watts (550) sur un home-trainer, représente le double de celle d’un amateur de bon niveau.
Mais quand même : Autant on le droit de penser que les grands leaders actuels du cyclisme, n’auraient pas manqués de devenir des champions sans le dopage.
Autant a posteriori on ne sait rien du tout du quel serait le cyclisme actuel s’il était propre!
Faut penser aux mecs qui se crèvent le cul sur leur selle et qui savent qui n'ont pas une chance de pouvoir titiller les grands champions, faut d’avoir l’envie ou les moyens de se doper high-tech. Certains sont très très bons et sont clean de chez clean, n'auraient pas t-ils eu plus de chances s'ils courraient face à des champions propres, à armes égales ?
Merde. Le course est faussée, les dés sont pipés, si tous le monde ne part pas doper de la même façon !
Oui au dopage généralisé et pas cher !
Le Tour ne serait-il pas plus équilibré ?
Au lieu de se résumer chaque Tour à une bataille de leader d’équipe, où celui-ci est l’étalon sur lequel repose tous les espoirs de l’équipe et de son laboratoire pharmaceutique.
Il fut un temps où la course pouvait se jouer entre coéquipiers, où un inconnu pouvait avoir son « jour avec » dans une grande étape de montagne, où un coureur pouvait gagner un Tour 10 après avoir gagné son premier, sans risquer sa vie.