BiZ a écrit :
miuiu a écrit :
Dis-donc, ça te ferait mal de me donner tes raisons d'être pour l'immigration massive ?
Ca te ferait du mal de nous donner les chiffres de l'immigration (ceux de l'insee) ici pour qu'on puisse rigoler de ta facon de la qualifier de massive? Parce que l'immigration par an, c'est peanuts compare a la population totale!
Claude Reichmann a écrit :
Il n’y a pas, chaque année, 100 000 migrants légaux en France, comme l’affirme le gouvernement, mais 200 000. Il n’y a pas 20 000 migrants illégaux supplémentaires par an en France, mais environ 200 000. Si bien que le total annuel des migrants supplémentaires dans notre pays s’élève à près de 400 000 personnes, sans compter les naissances qui peuvent être estimées à quelque 100 000 chaque année. Ainsi ce sont près de 500 000 personnes immigrées par an qui s’ajoutent à la population française, soit l’équivalent d’une ville comme Lyon.
La différence entre les données publiées par le gouvernement et les vrais chiffres tient à deux raisons essentielles. Parmi les migrants légaux ne sont pas comptés les étudiants étrangers, qui, depuis une circulaire du 15 janvier 2000, sont autorisés à s’établir définitivement dans notre pays. Parmi les migrants illégaux, ne sont pas comptabilisés les titulaires de visas touristiques qui se maintiennent sur le territoire français au-delà de la date d’expiration de leur visa. Dix pour cent des détenteurs des deux millions de visas de tourisme délivrés chaque année par la France « s’évaporent » ainsi dans la nature.
Ces chiffres viennent d’être révélés dans un ouvrage* écrit par un haut fonctionnaire en charge précisément des problèmes d’immigration, Maxime Tandonnet. Fondés sur des rapports officiels, ils sont accablants pour le pouvoir politique, dont le mensonge permanent éclate enfin au grand jour. Il serait criminel pour l’avenir de la France qu’ils ne provoquent pas le grand débat sur l’immigration que tous nos compatriotes attendent avec anxiété. Car nous sommes face à un phénomène qui est en train de saper les fondements mêmes de notre communauté nationale. En effet, si le mouvement se poursuit au même rythme, les immigrés et leurs descendants pourraient représenter, en 2030, le quart de la population française totale, comme vient de l’indiquer, lors d’un colloque récent, l’Institut de géopolitique des populations. On n’a pas de mal à imaginer les conséquences d’une telle vague de fond sur la stabilité de la société française.