Ce qui est regrettable c'est que depuis 6DOIT les albums se font au gré de ce qu'écoute Portnoy/Petrucci et dans une certaine mesure Labrie.
Sur 6DOIT ils écoutaient du Radiohead, Tool et bizarrement sur cet album on retrouve des morceaux sonnant comme Tool ou Radiohead.
Pour ToT c'était le néo-métal qui était à l'honneur, Labrie aimant Linkin Park, et curieusement on retrouve sur ce disque des morceaux métal avec un chant rap comme...Linkin Park.
Octavarium là c'est le pompom, il y quelques temps MP déclarait écouter Muse, la suite on la connait.
Qu'ils fassent des clins d'oeil je veux bien, qu'ils s'en inspirent je veux bien mais qu'ils copient là non. Qu'ils fassent des reprises avérées en tant que telles je veux bien.
Là c'est vraiment abusé, ce sont des morceaux à la "manière de".
Never enough commence exactement comme Stockolm syndrome, c'est quasiment le même riff, le même son de guitare, le même tempo, le même pattern de batterie, etc, les couplets quand à eux étant 100% pompés sur Muse.
L'intro d'Octavarium est 100% pompé sur Marooned de Pink Floyd.
Quand à I walk Beside U2 pas la peine de faire un dessin quoi^^
Mais bon le pire reste quand même Solitary Shell où là c'est carrement de la photocopie de Solisburry Hill de Peter Gabriel.
Un proverbe japonais dit que l'originalité c'est l'art de masquer ses sources. Pour DT c'est rapé.
"Sans une faciale de temps en temps, peut-on réellement parler d'amour?", Ben.oît
#Free the nipple!
#FreeMissDaisy