lemg a écrit :
Neorossi a écrit :
Ah ces Watersiens, prêts à descendre Gilmour pour n'importe quel prétexte!
Là, je ne suis pas convaincu qu'il s'agisse de watersisme acharné.
C'est surtout que Bobba, à ce que j'ai cru remarquer, a érigé l'excellence sonore et visuelle de PULSE comme référent de base pour tout ce qui se ramène au Floyd.
Sauf qu'en réalité, PULSE est l'exception, la fois où ils ont passé le truc jusqu'à son paroxysme (suffit de regarder le système de Gilmour
).
A sa façon, le dernier DVD de Gilmour est beaucoup plus proche de l'esprit et du son live de Pink Floyd dans les années 70.
merci de me défendre
Effectivement, pour moi PULSE, c'est un peu un live "parfait". Le son studio mais en live. Dark Side Of The Moon gagne enormement en intensité (ne serait-ce que par la présence du public)
Et puis il y'a ce montreux solo de Confortably Numb. (Waters l'avait lui aussi sublimé dans son The Wall à Berlin qq années avant) C'est la seule version où le solo à l'air à la fois construit visuellement et musicalement.
Dans les autres versions, ça ressemble plus à une serie de plans qui n'ont rien à voir les unes avec les autres, alors que là, l'ensemble à une plus grande cohésion.
edit: milles excuses, j'avais zappé le live Delicate Sound Of Thunder où le solo est quasiment le meme (avec les pains en plus)
Geordie boy a écrit :
Clément M a écrit :
gravityrem a écrit :
non pas du tout...
Ouai Crosby et Nash il font plus "acte de présence" qu'autre chose
lol
bah n'importe quoi !!!!
..avec eux Shine On est sublimée !!
Rien à faire, je préfère les choristes de Waters... Ceci dit cette version (avec Gilmour seul à l'intro, et aux couplet) à une intensité incroyable
. Mais bon voila, c'est du Gilmour, pas du Floyd. Et meme si Snowy White est pas à la hauteur, ben la version Waters reste plus Floydienne pour moi.
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969