Basstyra a écrit :
sorwell a écrit :
"Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective "business", soyons réalistes : à la base, le métier de TF1, c'est d'aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit. Or pour qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du télespectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c'est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau disponible"
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Patrick Le Lay, in
Les Dirigeants face au changement, Les Editions du Huitième Jour, mai 2004
Eh oui, et ca etonne personne. TOut le monde trouve ca normal. Moi, ca me fait gerber, la tele en tant que media, a une mission d'education, de communication, de culture. Je boycotte tf1 absolument depuis cet article, et je lui crache mon mepris a la gueule. "Nous ne sommes asuremment pas du meme monde", comme disait un certain "gauchiste fascisant" !! (
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Et dans la foulé, concevoir la musique comme un divertissement entre duex pubs, ca vous genes pas, vous, les pro starac ??? Moi si, j'ai une plus haute idée de la musique. Meme de la musique populaire.
Toi tu es un pote
C'est exactement ce que je pense, même si c'est vrai que la télévision a besoin (?) de la pub, du moins pense-t-elle aussi par la pub, les programmes devraient être autre chose que "des trucs que l'on met pour boucher les trous entre les pubs".
Ou alors ceux qui considèrent que la télé c'est ça, je leur dit que je préfère la radio, tout compte fait.
Cela dit, Le Lay dit un peu la vérité, "Ce que nous vendons à Coca-Cola, c'est du temps de cerveau disponible", oui, TF1 est une chaine commerciale qui ne fait que du fric et pas de télévision (dans le sens culturel du terme).
Dans les années 50, la télé se démocratisait en France. Et un ghomme politique (je ne sais plus lequel) a dit qu'enfin, la culture allait être accessible au plus grand nombre.
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"La véritable musique est le silence et toutes les notes ne font qu'encadrer ce silence."
Miles Davis