Oups ça devient un peu n'importe quoi là...
me faite pas dire des trucs que je n'ai pas dit svp. Si le néo-métal c'était "deconcertant, insensé", ce serait mon genre musical préféré !! Mais justement, c'est une musique dans laquelle il ne se passe rien. Merci, j'ai déja écouté les Deftones ou Slpiknot. Et je parle de musicalité, pas de technique; Donc le tapping, on s'en fout (par ailleurs je trouve ça abominable).
Enfin puisque je n'arrive pas à me faire comprendre, voici un extrait de l'artcicle d'Eudeline :
Citation:
Et puis les Beatles... inventent le métal moderne, le grindcore et Metallica. Oui, Riend e moins. On a coutume de prêter aux Kinks, aux Who l'invention du hard rock... la légende veut qu'en systématisant les principes d'Eddie Cochran et de ses riffs, en jouant le
three chord rock façon "Louie Louie" plus
lourdement... ils aient donné naissance à toute la suite, de "Born To Be Wild" et "Purple Haze" jusqu'à Metallica (burp) et Slayer ou Slipknot. C'est faux. Ceux-là ont popularisé l'éléctricité ou la distorsion... certes. Mais les suites d'accords, la mélodie, le principe même du hard moderne... Non,e ncore une fois, le mérite en revient aux Beatles. Qui ont utilisé très tôt le troisième accord de la gamme, en le bémolisant, et l'ont mêlé au non moins osé VI bémol. Oui, c'est cela, les suites d'accords façon
mi-sol-la-rédonc... ou
mi-ré-sol-la comme dans "Back In The USSR". Le rock moderne, depuis Hendrix, Cream est basé là-dessus... Et les Beatles l'ont introduit... Oh, dès "Please Please Me" et "It Won't Be Long" ! En 1963, donc. Avant "I Can't Explain", "You Really Got Me", "All Day And All Of The Night" et les autres qui l'utiliseront d'une manière ou d'une autre... "Gimme Some Lovin" ! "Sympathy For The Devil", "Dear Mr Fantasy" ! "Proud Mary" ! Les Beatles ont pompé le plan aux Everly Brothers, à "Bye Bye Love" ? Mais pour les frères magiques, il ne s'agissait que d'une intro. Les Beatles vont systématiser le procédé. Ensuite, à partir de "Helter Skelter" ou de "Brontosaurus" des Move, le plan va peu à peu devenir presque synonyme de metal et de hard rock... jusqu'à "Paranoid", jusqu'aux Pistols et "Nevermind"... Jusqu'au moment où Metallica et les autres vont prendre l'habitude de jouer sans que la notion de tonalité existe vraiment. Comme si
tout était permis puisque de
mi, rien n'interdit à glisser jusqu'à ce
sol qui pourtant n'est
pas dans la gamme, d'aller au
ré. L'effet, certes, cette dissonnance, en a perdu de sa force, puisqu'elle n'était plus
mise en situation, que ces accords impromptus, nos chevelus ne se donnaient plus la peine de les
résoudre. Alors, on a compensé par le volume, en accordant les guitares le plus bas possible, en compressant le son au maximum. On en arrive alors à Korn, à Manson. Pour éviter que la dissonnance choque, tous ne jouent plus, de toutes façons, qu'en
power chords, c'est-à-dire sur les deux grosses cordes en oubliant la troisième et les autres... qui donne la tierce et définit donc l'accord et oblige de se préocuper de l'harmonie ! Alors que, par exemple, dans notre "Yer Blues" que nous retrouvons là... cet accord est celui de la fameuse
chute en enferévoquée plus haut... du "
If I ain't dead already"... Rien n'est gratuit : le sentiment à exprimer appelle l'accord.