Sev night'sss a écrit :
_Arsène a écrit :
Sev night'sss a écrit :
Parcontre en jouant de la guitare et utilisé le Kaoss où sa donne pas super où c'est moi qui à un bas niveau
C'est un peu ce que tout le monde dit en quelques pages . Le Kaoss Pad c'est bien . En groupe , sur scène .. Mais sur un trépied ça suffit largement aussi , le fait que ça soit sur une guitare , c'est du deux en un , mais on ne joue pas de la guitare en trifouillant le Pad ..
(et pour infos avant que tu croit que c'est une attaque envers toi , je rappelle que j'apprécie vraiment Muse et les MoC mais pas le Pad Kaoss In .. )
Je suis pas vraiment d'accord la dessus, dans un concert tu crois c'est beau que quelqu'un joue le ''dj'' derriere une table? Plutôt non ^^.
C'est bien plus pratique l'avoir juste en dessous après avoir jouer ce que tu dois faire comme 2eme guitare (bein oui tu vas pas jouer tout le temps comme le premier guitariste) bein un petit coup de Kaoss pour améliorer le tout.
Ben de toute façon, à partir du moment ou tu veux changer les presets du Kaoss, tu sera obliger de retourner à sa base.
Ensuite si t'as plusieurs guitares, ben t'es un peu emmerdé quand même...
Enfin, jouer derrière une table, derrière une guitare ou derrière un piano, ca ne change pas grand chose.
Sinon j'ai regardé le Kaossilator, qui à l'air vraiment pas mal. Mais ne permet pas de se brancher en thru dans le chainage de la guitare.
Est-ce que le Kaoss Pad reprend les fonctions du Kaossilator (loop, samples, synth) ? Et est-ce que ces fonctions jouées dans un ampli guitare sonnent bien ?
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969