sarssipius a écrit :
Quand tu vois comment un débat sur un film dérive... :mdr:
Surtout sur un film que personne n'a vu !!
Allez pour se faire plaisir, l'avis de personnes qui ont vu le film (pas taper
j'ai plutôt des a priori favorable sur les films de Moore, mais là je trouve ca marrant la passion (déjà 22 pages) autour d'un film que personne n'a vu, alors autant prendre l'avis de personnes qui l'ont vu et dont c'est le métier) (extraits pris sur allocine)
Le Figaro - La Rédaction
La démonstration (...) tient plus du règlement de comptes que du documentaire dénonciateur. Il faut trier entre la charge étayée et le montage roublard. Mais l'attaque est efficace d'autant que Michael Moore (...) joue une carte facile en s'attaquant à une guerre de plus en plus impopulaire et aberrante et au président des Etats-Unis le plus contesté
Le Monde - Thomas Sotinel
L'auteur de "Bowling for Columbine" signe un pamphlet efficace qui vire parfois à la propagande.
Libération - Philippe Azoury
(...) le Karl Zero made in USA finit par enchaîner, sans avoir le temps nécessaire de les approfondir, des thèses passionnantes qui méritent autre chose qu'un zapping (...) Moore n'évite pas quelques confusions (...) deux-trois bourbiers (...) et finit par montrer ses propres limites de cinéaste lorsqu'il choisit d'incarner le retournement de l'opinion américaine à travers les pleurs d'une ex-patriote ayant perdu son fils à Kerbela.
The Hollywood Reporter - Kirk Honeycutt
Si les arguments de Moore sont recevables, les film réduit des décennies de politique étrangère américaine à un dessin animé en noir et blanc qui fait porter toute la responsabilité à une famille.
Variety - Todd McCarthy
On peut partager le point de vue politique de Moore (...) mais on regrettera qu'il n'ait pas mieux exploité son riche matériau (...) On a le sentiment que, derrière cette surface, beaucoup de choses pouvaient surgir mais que Moore, tout à sa hâte de terminer son film avant l'élection, n'a pas su le voir.
Télérama - Aurélien Férenczi
(...) moins inventif, plus manipulateur que ses précédents films, Farenheit 9/11, devient dans sa seconde partie un montage récapitulatif sur l'intervention en Irak, avec chantage final à l'émotion. Où est passée la pétulance libertaire de Michael Moore ?
Télérama - Marine Landrot (pour)
Michael Moore avance, révèle, décode, glace, bouleverse, au triple galop (...) Chaque scène de Fahrenheit 9/11 est un tract que Michael Moore distribue courageusement, et qu'on n'a pas envie de jeter en boule dans le caniveau.
Zurban - Véronique Le Bris
Cette oeuvre salvatrice, qui s 'attache surtout à réveiller les consciences du public américain, est un film coup de poing (...) Sans renier son style et ses références habituels, Moore surprend par sa capacité à se renouveler et à s'effacer devant la gravité du sujet.