commusik a écrit :
bjeje a écrit :
Bon j’ai écouté et comment dire ? Ça m’a fait comme….comme si Jean Luc Lahaye s’était mis au hard rock !!! La musique ok, ça peut faire illusion, mais les paroles
c’est épouvantable de niaiserie…non sérieux, c’est inécoutable pour moi, désolé.
Ensuite, pour reprendre ce que beaucoup ont dit ici, la musique c’est des heures et des heures d’apprentissage de l’instrument, des gens qui partagent, jouent ensemble, répètent encore et encore, pas un truc indigeste crée par une IA.
D'accord ! Jean Luc Lahaye ?
bon ben je suis niaise alors ?
Je suis une nana moi, on n'a pas la même sensibilité que vous les mecs (il n'y a que des hommes ici ou quoi ?).
Moi j'aime beaucoup Francis Cabrel (je l'ai vu en concert), elles sont niaises ses paroles aussi ? Perso, je ne trouve pas. Même SupaDog le reconnaît ? C'est pour dire !
Et dans l'absolu, quand on écoute certaines paroles de groupe de pop/rock/hard rock par ex, les paroles ça ne volent pas haut... Non plus...
Ma version anglaise avec l'IA a pris la voix de Joan Benz, c'est une chanteuse folk/country assez engagée des années 60/70, c'est sûr si on est trop jeune, on ne connait pas... Écoutez !
https://musicgeneratorai.com/m(...)e0851
Si vous souhaitez des paroles intellectuelles ou engagées (Trust antisocial ! pas mal sinon les inconnus genre parodie : et vice et versa
genre de paroles auxquelles on ne comprend rien mais c'est intello ! Ils étaient assez forts les inconnus avec leurs titres parodiques), mais ce sera sans moi.
Je voulais tester l'IA, je suis toutes seule, plus personne avec qui jouer, je l'ai déjà expliqué mais il faut remonter les pages, et il y en déjà pas mal. Si tu savais le nombre d'heures que j'ai pu passer à apprendre mes instruments...
et ça, il y a déjà très longtemps, à l'époque tu n'étais peut-être même pas né !
Je ferai mieux la prochaine fois ? Quoique ?
mais merci pour l'avis.
Je n’ai pas dis que tu étais niaise, je ne me le serai pas permis, mais que les paroles, générées par IA il me semble, l’étaient. Il faut reconnaître qu’elles accumulent tous les clichés possibles et inimaginables.