20 century boy a écrit :
Didier super je trouve ça ... pas super. Le second degré d'accord mais quand il s'agit de faire du " c'est nul mais c'est fait exprès" ça me donne juste envie de répondre "ben ouais mais c'est quand même nul!"
Stupeflip, je ne sait pas si c'est second degré mais c'est ultra sophistiqué (vannes qui font référence à d'autres morceaux du groupe ou à la mythologie dévelloppé par le groupe, production lo-fi mais super sophistiqué et très peaufinée).
Katherine, c'est pas du "c'est nul mais c'est fait exprès", c'est barré pas forcement fait exprès. Et il était là bien avant Didier Super, et il sera aussi là après. En tout cas, en concert ( sans payer -parceque j'avais pretté mon ampli pour quelques dates) c'est excellent, il installe vraiment une ambiance speciale. ça tourne bien. En tout cas, averc un bon groupe derrière (les recyclers) c'était géant.
Faut dire, que Gonzales en concert avec ou sans Katherine, c'est nul. ça doit plutot etre le coté Gonzales qui pue.
Gonzales ?
J'ai du mal à croire que c'est "barré mais c'est pas fait exprès" et quand bien meme ça serait le cas, j'arrive pas à immaginer qu'un producteur ait pus prendre ça au premier degré.
L'avantage avec Didier Super, c'est qu'il y'a toujours un moment ou les paroles vont te marquer, la chanson à beau etre chiante, mais ça te fout une claque quand meme. Alors qu'avec Katerine, y'a rien, pas de declic.
Y'a bien un moment ou il dit "caca" ou un truc dans le genre et forcement tu trouve ça drole parceque t'es pas habituer à entendre ça en concert. Mais bon ça prend pas avec moi.
(et je trouve Didier Super de plus en plus lourd...)
Par contre j'adore ta definition de Stupeflip, c'est clair que c'est hyper chiadé, et on dirait pas comme ça, surtout vus l'endroit ou ils composent. (un 3 pièce qui ressemble à une decharge public)
"En fait on peut se demander si le mot 'télévision' est celui qui correspond à cette circulation extraordinaire, nouvelle, libre des images et des sons que l'on peut imaginer pour l'avenir. Tout ce que vous voyez arriver par le canal de ce câble, implique une participation active de chacun. Au fond, on ne trouve pas de mot. J'attend que des professionnels de la langue trouvent un mot nouveau qui définira très bien cette possibilité extraordinaire de circulation des informations."
Jean D'Arcy, 1969