fontanille a écrit :
Le violon et la guitare ne sont pas accordé de la même maniere ce qui rend la transcription difficile ...
un trait musical trés simple au violon peu avoir un doigté trés complexe sur une guitare voir même quazi irréalisable ...
pour preuve jusqu'a présent ce type de projet n'avais jamais été réalisé car le travail est encore une fois titanesque et a découragé la pluspart des guitaristes ...certain on fait des arrangement afin de détourné une partie des difficulté et rendre ainsi les morceaux "jouable" à la guitare ...
mais cela n'etait pas le but ici qui etait justement de respecter totalement le repertoire abordé en choisissant des morceaux pour leur musiaclité et non pour leur jouabilité ;-))
Sauf que…
Les techniques que l'ont peut s'autoriser à la guitare rendent vraiment plus simple ce genre de sport. Ensuite sur une guitare on bypasse la justesse (qui pose très très peu de problèmes face à un instrument sans frettes) l'effort physique (jouer une corde de violon c'est pas une corde de guitare loin de la ^^) Le sensation du rythme est complétement différente et beaucoup plus difficile à attrapper sur un violon. Bref… Pour l'exploit technique c'est pas vraiment indiscutable et certains s'en sont tirés très bien avant Rondat (ex Michel Sigwalt
) …
Bon musicalement c'est un choix, et c'est culoté d'arriver à pointer son nez dans ce milieu bien fermé qu'est le monde du conservatoire, mais pour moi ça en reste la à l'écoute de ce premier morceau.
Pour moi les gens qui font des exploits techniques avec ce genre de morceaux ne sont pas les guitaristes mais plus les violoncellistes (la ça en deviens infernal :
ou encore l'incroyable Yo Yo Ma (avec Sigwalt mais en plus costaud quand même, parceque même si le père Mitch est très bon, la on touche les frontière de la difficulté vraiment extrème), qui est l'un des seul à avoir réussis à jouer un caprice de Paganini sans me faire chier :
Bref je maintiens que c'est un coup de pompe très interressant à donner dans la marre, et que c'était nécéssaire de le faire vis à vis des musiciens classiques, mais je suis plus modéré quad à l'exploit technique et la réussite artistique.
Malgrès tout pour avoir croisé Patrick Rondat 2 fois, c'est un gentleman.
A million flies can't be wrong.