izzyU2 a écrit :
Doc Loco a écrit :
Hier, je suis allé voir OTOBOKE BEAVER à l'AB de Bruxelles (la petite salle club, pas la grande salle évidemment). Dur après une longue journée de boulot, donc je n'étais pas dans les meilleures conditions mais:
- leur énergie est totalement communicative
- le concert ne dure qu'une heure (... durant lequel elles ont enchaîné 22 ou 23 morceaux, j'ai perdu le compte
)
Fidèles à leur réputation de lapins duracell en robes à fleurs, elles attaquent par Yakitori et puis y passent certains de mes titres fvoris (Im not maternal
). Quelques interventions cyniquo-hilarante "On est ici pour faire de l'argent - j'ai acheté du chocolat, c'est cher!"
).J'ai été particulièremen timpressionné par la guitariste Yoyoyoshie, avec ses faux airs de Kanami (sourire permanent d'écolière ravie) et la batteuse
.
Une chouette petite soirée, avec un public (très néerlandophone - le rock non mainstream en Begique, c'est quand même surtout flamand) réduit mais diversifié - pas mal de filles, souvent jeunes, mais aussi des vieux punks et autres rockers de tout âge.
Pour compléter ton avis, il y a un article sur le passage de Otoboke Beaver à paris avec quelques photos qui témoignent de l'ambiance "rock n' roll"
:
https://freakingeek.com/otobok(...)cert/
Elles ont mis le feu ! Et ce dès les premières notes de l'intro. Elles ont un talent certain pour entrainer la foule. Foule ici aussi très variée en genre et en âge, et même quelques dirty old fart
, des fans et aussi quelque uns qui découvraient le groupe et qui ne sont pas restés indifférents très longtemps. (Certains se sont peut-être un peu trop emportés comme ne manque pas de le rappeler le live-report sans que ça n'afecte la bonne ambiance générale)
The Klittens n'était pas si mal mais encore très timide sur scène, la guitariste blonde jouait un peu trop dans son coin. Espérons qu'elles apprendront leurs aînées pendant cette courte tournée.
Un des polaroïds dédicacés en nombre très limité disponibles uniquement après le concert
https://www.instagram.com/p/Cs(...)_link
J'ai aussi profité de mon passage à Paris pour mettre la main sur quelques albums d'occasion dont trois de Cocco, autrice-compositrice-interprète originaire d'Okinawa que j'avais plutôt ignoré jusqu'ici. Les deux premiers, Bougainvillea (1997) et Kumuiuta (1998 ) et son quatrième, Sangu Rose, sorti en 2001.
Et je regrette de ne pas l'avoir écouté plus tôt. Cocco est une artiste puissante, toute en poésie. Je recommande particulièrement son premier album Bougainvillea qui alterne entre folk, ballades aériennes et morceaux beaucoup plus rock.
Son titre Countdown en live