Je m'accorde avec la critique de Blow Up. Et en remontant mon post et celui de BlackDragon, on peut lire de la critique négative mais constructive.
J'avoue que je serai un peu moins conciliant que Blow Up quand même.
Vouq avez une qualité d'image bonne (du à votre matériel) et donc il est très dommage de ne pas l'exploiter. Il évoque les couleurs de drap et il a raison. C'est un détail mais au vu du nombre de plan sur le lit c'est important.
Moi j'ajouterai que les plans de visage dans le noir éclairé par en dessous, depuis "bohemian rhapsody" il faut limiter leur utilisation. Disons que ça fait tout suite "cliché". Des images des musiciens dans la pénombre auraient pu être une alternative.
Et puis je finis sur un exemple presque idiot. Votre chanson parle du suicide ou du mal être je crois (j'ai pas compris le texte). Et du coup vous mettez des images d'une fille suicidaire. Bon, c'est pas hyper surprenant. On n'est pas obligé de coller au texte de manière si illustrative. Prenons
Billie Jean de Michael Jackson.
Wiki que pourtant j'aime pas trop... a écrit :
Dans les paroles, Michael nous parle d'une fille qui prétend qu'il est le père de son enfant et il plaide son innocence « the kid is not my son ». Il n'y a jamais eu de vraie Billie Jean, mais c'est une image de toutes les filles qui leur ont « empoisonné » la vie à lui et ses frères pendant des années, comme il le dit lui-même.
Le clip correspondant ? Un mec qui marche dans les rues et transforme tout ce qu'il touche...
Aucun lien ! Mais quel clip !
Un autre dans le genre plus... subtil.
A l'envers à l'endroit de Noir Désir.
La chanson évoque quelque chose comme une fin de cycle, une révolution peut être. En tous cas quelque chose qui va mal et qui doit être changé.
Noir Désir a écrit :
Y'a t'il un incendie prévu ce soir dans l'hémicycle
On dirait qu'il est temps pour nous d'envisager un autre cycle
On peut caresser des idéaux sans s'éloigner d'en bas
On peut toujours rêver de s'en aller mais sans bouger de là
Et le clip (de Michel Gondry) ? Des images d'usines, d'employés qui travaillent mais des images qui se répètent en rythme (au rythme de la musique) et qui passent dans un sens puis dans l'autre. Et quelque part cela souligne cette "machine" qui tourne sans fin, sans raison et nécessite un changement.
Voilà.
Le Lutin "bon on a le droit à un bon point pour ses réponses constructives ?"